
Il y a quelques mois, quand la crise mondiale prenait son essor, des banquiers, des chefs d’entreprises, et des représentants de l’Etat considéraient que, si le Finistère allait être touché par la crise, ses effets se feraient moins sentir qu’ailleurs en raison d’un tissu économique lié à l’agro-alimentaire et à l’agriculture (on a toujours besoin de manger…). Qu’en est-il réellement ? Lors de la réunion de suivi de l’économie départementale du 30 avril, le préfet lui-même a reconnu que « la résistance s’effrite ». Pour preuve, le chômage partiel dans les entreprises a été...