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25/06/2015

"Brest Tech +" obtient le précieux label

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 Entretien à Bercy avec Axelle Lemaire, le 2 juin 2015

Dans le cadre de la 2ème édition de la "French Touch Conference" qui se tient actuellement à New York, les ministres Emmanuel Macron et Axelle Lemaire ont annoncé les dossiers retenus pour la seconde vague de labellisation "French Tech".

Comme beaucoup, je me réjouis que "Brest Tech +" rejoigne les 9 métropoles déjà labellisées en novembre 2014 (Lille, Lyon, Bordeaux, Toulouse, Aix-Marseille, Grenoble, Nantes, Rennes, Montpellier). 14 candidats étaient en lice pour cette 2ème vague de labellisation.

Parce que le numérique constitue un levier essentiel pour impulser l’économie industrielle digitale de demain, j’ai toujours soutenu la candidature de "Brest Tech +", dans sa première mouture puis dans sa dimension nouvelle sur la base de laquelle les acteurs privés et publics de l’écosystème numérique de la métropole brestoise et des agglomérations de Lannion, Morlaix et Quimper ont décidé d’avancer en commun.

On sait l’intérêt pour la métropole brestoise de bénéficier de cette labellisation. Le numérique constitue en effet un levier essentiel pour impulser l’économie industrielle digitale de demain.

Pour cette raison, nous avions avec François Cuillandre, maire de Brest, et les parlementaire locaux, demandé à pouvoir plaider le dossier "Brest Tech +" auprès de la ministre Axelle Le Maire à Paris (photo ci-dessus).

Car si "Brest Tech +" couvre une population totale de près d’un million d’habitants, elle représente surtout 16 000 emplois, répartis dans 1 620 établissements, sur les filières du numérique (pour 57%), de la mer (pour 22 %), de la banque-assurance (pour 10 %) et sur les filières des transports, de la santé ou des IAA (Industries Agroalimentaires).

Associées avec nos start-up du numérique, les entreprises qui font le tissu économique de nos territoires seront ainsi plus armées pour se confronter à de nouveaux marchés potentiels.

A la clé c’est bien de croissance et d’innovation dont notre territoire bénéficiera.

25/05/2010

L’international, une donnée indispensable qui tire vers le haut

images note blog capitaux étrangers.jpgAvec l’accentuation de la crise économique et son cortège de mauvaises nouvelles, la tentation est grande pour certains de se laisser posséder par les démons du protectionnisme et du repli sur soi à l’abri de frontières nationales…

N’oublions pas que pourtant que l’internationalisation croissante présente plus de bienfaits et d’évolutions positives que ce type de régression vers le monde du passé. Parmi les avantages intéressants pour le bon fonctionnement de nos entreprises et de nos industries figurent par exemple le développement de l’exportation de nos produits agricoles bretons mais aussi l’apport des capitaux étrangers…

C’est ce que pointe un article récent du Progrès relatif aux étrangers qui « investissent en Bretagne ». Malgré la crise, les investissements étrangers ont augmenté en Bretagne en 2009 : 16 projets dont 6 dans le Finistère, ce qui représente pour notre département 278 emplois créés ou maintenus, essentiellement dans la tertiaire… Au total la Bretagne compte plus de 400 entreprises à capitaux étrangers pur un total de plus de 30 000 emplois.

Ces chiffres sont à rapprocher des facteurs d’attractivité du territoire. Il est évident que les entreprises choisissent leur lieu d’implantation selon le niveau de dotation du territoire en centres de formation, desserte ferroviaire et routière, services publics,…

Dans le cadre de la régulation économique et financière européenne (eurogroupe), c’est bien naturellement l’harmonisation qui doit être recherchée. Mais la libre circulation des capitaux et des marchandises reste le levier d’un développement économique et social vers le haut.

Ne perdons pas de vue l’exigence de progrès, d’ouverture et de solidarité…