Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : attractivité

ROLLAND : 200 emplois à TREFLEVENEZ

françois marc,sénateur,finistère,socialiste,commission des finances,territoires,bretagne,treflevenez,crise agrcioles,remorques,rolland,pme,pacte pour la bretagne,europe,croissance,développement,emploisNouveau logo de l'entreprise Rolland dévoilé à l'occasion du 70ème anniversaire de l'entreprise.

A l'occasion de son 70ème anniversaire, l'entreprise ROLLAND (anciennement "Remorques Rolland") invitait ce jour ses fournisseurs, clients et l’ensemble des acteurs du territoire, à visiter ses installations agrandies et modernisées sur la commune de TREFLEVENEZ.

Béatrice LE GALL et Myriam EMILY représentent aujourd'hui la troisième génération de la famille ROLLAND, puisque c'est en 1946 que Joseph ROLLAND avait installé cette entreprise à PENCRAN pour la fabrication de remorques pour les agriculteurs.

L'entreprise a connu depuis cette période une expansion remarquable et aujourd’hui plus de 20 % de ses activités sont consacrés à l'exportation, notamment vers la Grande-Bretagne, la Belgique ou l'Allemagne.

8000 m2 supplémentaires ont été ajoutés à l'usine de production et les technologies ont été fortement modernisées, avec aujourd'hui l’apparition de la robotisation dans certaines étapes de la fabrication des remorques et autres engins à vocation agricole.

L'inauguration a été pour moi l'occasion de souligner la nécessite d'une action publique efficace en soutien aux PME de ce type, qui souhaitent continuer à vivre et travailler au pays et qui continuent à vouloir faire vivre et travailler au pays les habitants de nos territoires. Il était important également de souligner les étapes historiques du développement de cette entreprise, en rendant hommage à l'action de Joseph ROLLAND et de son épouse ainsi que de Jean-Yves et Roselyne EMILY.

On ne peut bien sûr ignorer aujourd'hui les difficultés du monde agricole, secteur dans lequel est écoulée la plupart des machines fabriquées dans cette entreprise. J'ai pour ma part insisté sur la nécessité d'une action conjointe déterminée et solidaire de tous les acteurs, pour aider à améliorer la situation dans l’agriculture. Ceci est vrai pour les Autorités publiques, l’État et l’Europe, ainsi que pour les acteurs de la filière qui doivent progressivement travailler ensemble dans un esprit plus constructif, de la production à la distribution.

Lire la suite

24/02/2016 | Lien permanent

Pour diminuer les charges : les CUMA ont du bon !

FNCUMA.gifA l’heure où le secteur agricole s’active à traiter la question de la réduction drastique des charges, je relève avec intérêt cet article publié dans la revue "Terra" du 27 février 2016 et intitulé "Les Cuma observatrices et actrices dans la crise agricole" (lire l’article).

Regroupant des agriculteurs qui investissent ensemble dans du matériel et s’organisent pour utiliser ces équipements sur leur exploitation, les Coopératives d’Utilisation de Matériel Agricole (CUMA) rencontrent aujourd’hui un certain succès.

A juste titre, l’article rappelle combien le contexte actuel "oblige les agriculteurs à se poser la question de l'investissement matériel, son coût, et l'opportunité de le partager." Dans un secteur économique où la diminution de charges structurelles doit être accélérée, ces mutualisations dans l’achat du matériel (l’investissement en machinisme s’avère souvent extrêmement lourd) participe d’une stratégie de "bon sens", de "bon sens paysan" peut-on même dire !

Dans le milieu agricole et rural, les CUMA jouent de ce fait un rôle important dans la mise en place de démarches de développement durable. Il était donc bien normal qu’elles aussi, bénéficient du dispositif de "suramortissement" issu de la loi Macron.

S’agissant des baisses de charges pour l’agriculture, il est par ailleurs opportun de ne pas ignorer l’action engagée par les Pouvoirs Publics. Depuis le début de la crise en 2015, c’est une baisse structurelle cumulée de charges personnelles des agriculteurs de 720 M€ qui a été décidée. Le total des allègements de charges pour l’ensemble du secteur (production, transformation et services), hors aides d’urgence, atteindra 5,1 milliards d’euros en 2017, contre 2 milliards d’euros en 2012. Au total, sous le quinquennat de François Hollande, le secteur aura bénéficié de plus de 3 milliards d’allègements de charges supplémentaires.

Lire la suite

29/02/2016 | Lien permanent

Primaires US : Bernie SANDERS continue à surprendre

élections américaines, primaire, Bernie Sanders, socialisteA 74 ans, Bernie Sanders continue d'apporter un souffle d'air frais et de jeunesse dans cette élection primaire aux Etats-Unis.

Nul ne l'ignore, le système électoral américain est tellement sous influence des pouvoirs d'argent et de "l'establishment" que B. Sanders, en bon candidat "socialiste", n'a pratiquement aucune chance d'être désigné à la primaire, même si les victoires obtenues dans de nombreux Etats suscitent en sa faveur une réelle considération...

On ne peut manquer de souligner que, scrutin après scrutin, les électeurs de moins de 40 ans apportent massivement (près de 70%) leur soutien à Bernie Sanders.

C'est dire que pour la génération montante et les jeunes actifs, ce candidat apporte incontestablement quelque chose de nouveau et de rassurant dans un pays confronté à un creusement accentué du fossé entre riches et pauvres, entre jeunes et moins jeunes, entre le peuple et "l'establishement"...

C'est tout le mérite de "Sanders senior" de porter dans cette confrontation un message d'espoir pour la jeunesse et pour les salariés modestes.

Bernie Sanders dit vouloir continuer à se battre "pour transformer l'Amérique". Depuis plusieurs mois il a indiqué que "le but de cette campagne n'est pas juste d'élire un président, c'est aussi de faire une révolution politique".

Il n'est en tout état de cause pas inintéressant de prendre connaissance du dernier sondage qui indique que s'il était désigné par le parti Démocrate, Bernie Sanders battrait Donald Trump ou tout autre candidat beaucoup plus facilement que ne le ferait Hillary Clinton !

Lire la suite

02/03/2016 | Lien permanent

Contrôles fiscaux : 10 milliards d'euros en déshérence

contrôles fiscaux, taux de recouvrement, DGFip, déshérenceLes contrôles fiscaux pratiqués chaque année en France, tant pour les entreprises que pour les particuliers, entraînent une mise en recouvrement de droits et pénalités de l'ordre de 20 milliards d'euros à l'année (en 2014, les agents de la DGFiP ont réalisé pas moins de 1,5 millions de contrôles fiscaux dont 52000 contrôles externes). Il est toutefois rassurant de noter que les contribuables français ne sont pas moins vertueux que ceux des autres pays européens !

Mais ce qui peut beaucoup surprendre, c'est de prendre connaissance du taux de recouvrement effectif de ces pénalités, car plus de 10 milliards d'euros manquent à l'appel chaque année (taux de recouvrement inférieur à 50%). J'ai interrogé ce jour à ce sujet, lors de leur audition au Sénat, Bruno PARENT, Directeur général des finances publiques ainsi que Raoul BRIET, Président de la 1ère Chambre de la Cour des Comptes. Il m'a été indiqué que de plus en plus d'entreprises engagent des procédures contentieuses susceptibles de durer parfois plusieurs années, tandis que d'autres pénalités deviennent irrécouvrables du fait qu'elles concernaient des "sociétés éphémères" devenues insolvables ou parfois même parties sans laisser d'adresse !

Pour autant, le fait que le taux de recouvrement ne s'améliore guère d'année en année au dessus de 50% pose question sur l'ampleur du phénomène et sa durabilité dans le temps.

10 milliards d'euros en déshérence chaque année, c'est considérable, et il y a donc lieu de chercher à faire progresser ce taux de recouvrement bien au delà de 50%.

Lire la suite

02/03/2016 | Lien permanent

Salon de l'agriculture : la Bretagne en force...

françois marc,agriculture,salon del'agriculture,bretagne,gwen ha duPhoto 1 : beaucoup de monde autour du stand régional

Les difficultés actuelles de l'agriculture sont bien sûr dan toutes les têtes. Mais le Salon de l'Agriculture reste malgré tout un événement exceptionnel couru par des centaines de milliers de visiteurs attentifs.

Le moins que l'on puisse dire, c'est que la Bretagne fait très fort par l'intensité de sa présence et la richesse des produits phares de l'agroalimentaire et de la pêche présentés autour du stand "Terre et Mer" activement soutenu par la Région Bretagne.

Ce mercredi 2 mars, à l'initiative de la Région, nombreux étaient les acteurs économiques et politiques de Bretagne rassemblés autour du "Gwen ha du" !

 françois marc,agriculture,salon del'agriculture,bretagne,gwen ha du

françois marc,agriculture,salon del'agriculture,bretagne,gwen ha dufrançois marc,agriculture,salon del'agriculture,bretagne,gwen ha du

Photo 2 : le drapeau breton flotte sur de nombreux stands

 

 

 

 

 

 

 

Photos 3 et 4 : au moment des interventions officielles : Olivier ALLAIN, VP de la Région Bretagne, Jacques JAOUEN Président de la Chambre d'Agriculture, Olivier LE NEZET Président du Comité Régional des Pêches

 

Lire la suite

03/03/2016 | Lien permanent

Déchéance de nationalité : la majorité sénatoriale détricote le compromis de l'Assemblée nationale

déchéance de nationalité,constitution,congrès de versailles,compromisComme tous mes collègues sénateurs du groupe socialiste, j'ai ce jour voté contre la proposition du Président Larcher et de ses collègues "Les Républicains" de détricoter le compromis trouvé à l'Assemblée nationale pour l'inscription dans la Constitution de la déchéance de nationalité.

On sait que ce compromis avait été voté par plus des 3/5ème des députés, ce qui ouvrait la porte à une réunion conclusive du Congrès à Versailles.

Je regrette donc que cette volonté de compromis exprimée par des députés de gauche et de droite ait été rejetée au Sénat pour d'obscures raisons politiciennes, sans doute en lien avec la future primaire "Sarkozy-Juppé-Fillon"...

Cette position de repli me paraît très regrettable, surtout au regard du besoin d'unité qui doit nous guider dans cette période troublée.

Lire la suite

22/03/2016 | Lien permanent

Solidarité avec les Bruxellois

4888043_6_c258_place-de-la-bourse-a-bruxelles-les-gens-on_b092c7f34b4f389629bb577f76d8fc56.jpgCe matin Bruxelles a été attaqué.

Après Paris, après d’autres attaques contre le Mali, la Tunisie et bien d’autres, c’est la Belgique qui est une nouvelle fois touchée par l’horreur.

Le 13 novembre 2015 avait montré au monde que nous étions en guerre.

Ce 22 mars nous le rappelle odieusement. Au nom d’une idéologie meurtrière, les terroristes ont visé tous les peuples libres. Dans ce moment nous devons faire preuve de solidarité avec toute la Belgique qui est endeuillée.

Pour protéger les européens mais aussi au nom des valeurs que nous défendons, la lutte contre le terrorisme doit être une priorité absolue pour l’Europe. L’horreur nous oblige à la responsabilité pour éradiquer le terrorisme.

Lire la suite

Projet de loi Création : Quel impact pour les collectivités ?

14-juin-2013-soirée-danse-bretonne-032.jpg

Alors que le projet de loi relatif à la liberté de la création, à l'architecture et au patrimoine poursuit son processus législatif, ma collègue Maryvonne BLONDIN, membre de la Commission culture au Sénat, propose sur son site une note d’étape qui fait le point des dispositions concernant les collectivités locales (voir la note aux élu(e)s).

Pratiques amateurs, spectacle vivant, patrimoine culturel, architecture, archives, archéologie, constructions... Quel Impact pour les collectivités ? Compte-tenu de la richesse de notre patrimoine en Finistère, il était utile d’informer ainsi les élu(e)s du Finistère des dispositions contenues dans ce texte.

Lire la suite

22/03/2016 | Lien permanent

Visite de Nathalie SARRABEZOLLES, Présidente du Conseil départemental, sur le territoire du Pays de Landerneau-Daoulas

FullSizeRender.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ci-dessus, à "TRIGLAZ", avec Nathalie SARRABEZOLLES, Présidente du Conseil départemental et Armelle HURUGUEN, Présidente de la commission "territoires et environnement".

Ce jeudi 24 mars, j’ai accompagné Nathalie SARRABEZOLLES, Présidente du Conseil départemental du Finistère, dans sa visite sur le territoire de la Communauté de communes de Landerneau-Daoulas.

J’ai notamment participé à la réunion de travail avec les Maires de la Communauté de communes.

La question du contrat de territoire a été abordée. Le contrat de territoire va en effet bénéficier de la clause de revoyure à mi-parcours et d’un ajustement. Dans ce cadre, les échanges ont porté sur la problématique de la ruralité, de la voirie rurale et des subventions au patrimoine architectural (notamment à la rénovation des églises).

Nous avons par ailleurs eu la chance de pouvoir visiter le centre de tri du Nord-Finistère, "TRIGLAZ", implanté à PLOUEDERN (voir la photo). Des plus performants, cet équipement, qui gère les déchets ménagers de plus de 500 000 habitants de secteurs voisins, a misé sur le bien-être de ses salariés.

Préalablement, la politique du sport au niveau communautaire a pu être abordée dans le cadre de la visite de la salle de sport de Saint-Ernel à LANDERNEAU.

Lire la suite

24/03/2016 | Lien permanent

Pourquoi la décision de la Confédération Nationale du Crédit Mutuel n'est pas la bonne décision...

cm.pngLa décision prise ce lundi 21 mars par l'Assemblée générale de la Confédération du Crédit Mutuel d'entériner la réforme des statuts de la structure de tête du Crédit Mutuel est pour le moins surprenante.

Cette décision a été validée par les seuls voix du CM11-CIC et de ses alliés habituels.

Or la première tentative de réforme présentée à l'automne 2015 en vue d'une centralisation complète du Crédit Mutuel avait été annulée le 19 janvier 2016 par le TGI de PARIS au motif que cette décision "n'avait pas été prise à l'unanimité de ses membres".

On ne peut dès lors qu'être étonné de constater que pour cette seconde mouture, aucune concertation préalable n'ait été engagée en direction du Crédit Mutuel ARKEA.

Ceci dénote à tout le moins une nouvelle volonté de passage en force, au mépris de l'avis unanime des 324 caisses locales du réseau mutualiste de proximité qu'est le Crédit Mutuel ARKEA des territoires de Bretagne, du Sud Ouest et du Massif Central.

Il doit au demeurant être constaté que les nouveaux statuts adoptés le 21 mars n'apportent aucune réponse appropriée aux exigences posées par les textes de l'Union Bancaire Européenne et ne permettent en rien de remédier aux conflits d'intérêts ni aux excès de pouvoir soulevés par le CM ARKEA. La justice, saisie sur ces différentes questions, aura à rendre ses décisions dans les mois à venir.

La Banque Centrale Européenne supervise directement les 130 principaux établissements bancaires de la zone Euro qui en compte 6000 en tout. Du fait de sa taille et de l'importance de ses actifs, le CM ARKEA est classé dans le premier tiers de ces 130 banques d'importance européenne. Ses performances économiques sont excellentes et sa démarche prudentielle soulignée par les régulateurs.

Nul ne peut, dans ces conditions, porter crédit aux arguments infondés de ceux qui voient la préservation de l'autonomie de gestion du Crédit Mutuel ARKEA comme une source de risques financiers pour cette banque française en plein développement ainsi que pour le financement de l'économie des régions concernées.

Lire la suite

25/03/2016 | Lien permanent

Page : 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76