02/10/2007
Après la "machine à perdre", la "machine à casser…"
En politique, on dit communément que quand un parti est miné par les divisions, c'est la "machine à perdre" qui est en marche… Mais les socialistes semblent aujourd'hui en mesure de breveter un autre appareil aux redoutables performances. En effet, nombre d'entre eux - et non des moindres – publient depuis quelques semaines articles, opuscules et pamphlets "anti-Hollande", "anti-Royal" et sans doute demain "anti-X" (le X pouvant être n'importe lequel des militants et responsables socialistes !).
Triste spectacle !
Et dire que certains parlent (sans rire) de "cadeaux utiles" entre socialistes…
Suggestion : Que les "littérateurs" politiciens se penchent avant tout sur les préoccupations du quotidien et les soucis majeurs de leurs concitoyens. De mon point de vue, une machine à reconstruire vaut bien mieux qu'une "machine à casser"…
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Commentaires
Bien dit...
Témoignage hier d'un adhérent socialiste de (très) longue date : "Je ne comprends plus les réunions de section. On arrive là et certains disent : je n'aime pas celui-là, je ne peux pas sentir celui-ci, je supporte plus un tel. Et pourtant ce sont tous des socialistes ! Je n'ai pas été habitué à cela".
Écrit par : Nicolas | 03/10/2007
C’est en effet un commentaire fréquemment entendu chez les militants.
Veillons à leur donner perception plus positive de la « chose politique ».
Écrit par : François MARC | 08/10/2007
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