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18/06/2016

"French Tech Brest +" défend les filières de demain

1220_FT_Brest_déclinaisons_villes.jpgEn lice pour les Réseaux thématiques French Tech, "Brest Tech +" devenu "French Tech Brest +" en avril dernier (pour plus de visibilité), a postulé en déposant six dossiers pour défendre des filières du grand ouest, empreintes d’innovation et d'excellence :

  • => la fintech (ces start-up qui renouvellent les services financiers et bancaires au travers de la technologie) ;
  • => l'Internet des Objets ou "IoT" (télécoms et électronique) ;
  • => la santé (e-santé, technologies médicales et biotech) ;
  • => l’économie bleue avec "océan tech" ;
  • => la photonique (utilisation de la lumière dans des composants de haute technologie) ;
  • => la foodtech, associée à l'agriculture et à l'agroalimentaire.

Lire l'article "Réseaux thématiques French Tech : Brest+, terre (et océan) d'innovation" : 

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26/04/2016

La France est devenue le pays de prédilection des "startuppers"

1211839_pour-que-la-france-devienne-une-vraie-start-up-nation-web-tete-021821682146.jpgDans quel pays a-t-on aujourd’hui intérêt à fonder sa start-up ?

En France !

C’est en tous cas l’avis sans appel des français installés aux USA : ils l’ont dit récemment au président HOLLANDE lors de son passage à New-York (voir l’article des Échos).

Ci-dessous, des morceaux choisis de leurs déclarations :

- "La France est le plus beau pays qui soit pour entreprendre !"

- "Les ingénieurs en France sont bons et pas chers"

- "En France, les gens sont mieux formés"

- "L'écosystème créé autour de la BPI est incroyable"

- "En France, on paie beaucoup moins d'impôt sur le revenu qu'aux États-Unis"

- "En France, la fiscalité sur les plus-values est devenue attractive"

Belle déclaration d'amour des startuppers à notre pays !

04/12/2015

Numérique : "Brest tech +" recrute !

pres-de-40-postes-pourvoir-lannion-brest-morlaix-et-quimper.jpgUne quarantaine de postes sont à pourvoir à Brest, Lannion, Morlaix et Quimper. Pour répondre aux besoins des entreprises du numérique, "Brest tech +" et "Pôle Emploi" organisent un salon de l’emploi en vue de recruter ingénieurs, techniciens, e-marketing développeurs et community managers…
Les 21 entreprises du numérique du territoire lancent cette opération du 5 au 17 décembre, depuis le site "salonenligne.pole-emploi.fr".
L’essor du numérique est aujourd’hui une réalité sur le marché de l’emploi ; ceci justifie bien que l’on pousse les feux sur ce secteur qui draine des métiers nouveaux. Cette vague de recrutements témoigne également du potentiel de croissance que recèle le territoire "Brest tech +" et illustre, s’il était nécessaire, l’intérêt et l’utilité d’un label "French tech".

+ d'info

25/06/2015

"Brest Tech +" obtient le précieux label

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 Entretien à Bercy avec Axelle Lemaire, le 2 juin 2015

Dans le cadre de la 2ème édition de la "French Touch Conference" qui se tient actuellement à New York, les ministres Emmanuel Macron et Axelle Lemaire ont annoncé les dossiers retenus pour la seconde vague de labellisation "French Tech".

Comme beaucoup, je me réjouis que "Brest Tech +" rejoigne les 9 métropoles déjà labellisées en novembre 2014 (Lille, Lyon, Bordeaux, Toulouse, Aix-Marseille, Grenoble, Nantes, Rennes, Montpellier). 14 candidats étaient en lice pour cette 2ème vague de labellisation.

Parce que le numérique constitue un levier essentiel pour impulser l’économie industrielle digitale de demain, j’ai toujours soutenu la candidature de "Brest Tech +", dans sa première mouture puis dans sa dimension nouvelle sur la base de laquelle les acteurs privés et publics de l’écosystème numérique de la métropole brestoise et des agglomérations de Lannion, Morlaix et Quimper ont décidé d’avancer en commun.

On sait l’intérêt pour la métropole brestoise de bénéficier de cette labellisation. Le numérique constitue en effet un levier essentiel pour impulser l’économie industrielle digitale de demain.

Pour cette raison, nous avions avec François Cuillandre, maire de Brest, et les parlementaire locaux, demandé à pouvoir plaider le dossier "Brest Tech +" auprès de la ministre Axelle Le Maire à Paris (photo ci-dessus).

Car si "Brest Tech +" couvre une population totale de près d’un million d’habitants, elle représente surtout 16 000 emplois, répartis dans 1 620 établissements, sur les filières du numérique (pour 57%), de la mer (pour 22 %), de la banque-assurance (pour 10 %) et sur les filières des transports, de la santé ou des IAA (Industries Agroalimentaires).

Associées avec nos start-up du numérique, les entreprises qui font le tissu économique de nos territoires seront ainsi plus armées pour se confronter à de nouveaux marchés potentiels.

A la clé c’est bien de croissance et d’innovation dont notre territoire bénéficiera.

03/02/2015

Je soutiens « Brest Tech + »

french tech,brest tech +,brest,lannion,morlaix,quimper,tic,startup,croissance"Brest Tech +" est aujourd’hui en course pour la seconde vague de labellisation des métropoles French Tech. Pour répondre à un cahier des charges précis et exigeant, Brest, Lannion, Morlaix et Quimper ont uni leurs forces.

 

Au travers de cette mobilisation, l’écosystème numérique de l’Ouest breton a bien évidemment une carte à jouer :

- pour la création et le développement des startups,

- pour la croissance des entreprises dans le secteur numérique,

- mais aussi pour le tissu économique du territoire qui a fort à gagner de ces nouvelles opportunités de développement et d’activités.

Le dossier "Brest Tech +" démontre en tout état de cause combien l’Ouest breton peut compter sur ses filières d’excellence (sciences et technologies de la mer, agro-alimentaire, défense, cyberdéfense, technologies de l’information et de la communication, banque, santé, transport, tourisme, …).

Je soutiens activement le projet "Brest Tech +", qui j’en suis sûr, s’il était labellisé "French Tech ", trouverait indéniablement sa place auprès des " French Tech Hubs ", labellisés dans les grandes métropoles innovantes du monde.

Voir aussi :

Candidature au label "French Tech"

Numérique. Brest veut le label « French tech »

28/05/2014

Collectivités locales et start-up gagnent à œuvrer ensemble : Brest doit devenir "Métropole French Tech " !

index.jpgCollectivités locales et start-up gagnent-elles à œuvrer ensemble ? La réponse est évidemment OUI ! Je soutiens la candidature de Brest, en lice pour devenir « Métropole French Tech » et renforcer ainsi son attractivité numérique.

En labellisant les territoires dont les écosystèmes de start-up ont un rayonnement international, l’initiative "French Tech" permet d’accompagner les collectivités territoriales dans leurs projets de concentration et de valorisation des acteurs du numérique, par la mise en réseau et la visibilité des écosystèmes à l’international. Demain c’est la candidature de "Brest Tech" qui sera annoncée au Quartz. La collectivité Brest Métropole Océane est candidate au label "Métropole French Tech". Disposant d’atouts territoriaux indéniables, BMO a toute légitimité à prétendre à cette marque de reconnaissance, sésame vers de riches coopérations, génératrices localement de croissance et d’emplois.

Je souhaite de tout cœur, que la métropole BMO puisse obtenir cette labellisation, levier permettant tout à la fois un soutien plus marqué aux professionnels du numérique de notre territoire et un surcroit d’attractivité et de rayonnement pour notre pointe finistérienne.

Vous aussi, soutenez la candidature de "Brest Tech".

23/04/2014

Et si les prochains Google naissaient dans le Finistère ?

1506560_10152343088049394_2178362173187984999_n.jpgLa volonté du gouvernement est d’asseoir l’attractivité internationale de la France dans le numérique. Ceci s’est d’abord traduit au travers des "quartiers numériques", initiative soutenue par la Caisse des dépôts. Fin 2013, la démarche "Quartiers numériques" est devenue la "French Tech", portant la volonté de se mobiliser collectivement pour la croissance et le rayonnement international des startups numériques françaises.

L’objectif des French Tech est de « tout faire pour que les prochains Google naissent et se développent ici, en France et en Europe ! ».

Dans le cadre de l'appel à projet "French Tech", Brest Métropole Océane ainsi que les acteurs de l’écosystème du numérique et de la création d’entreprises (tels le Technopole de Brest Iroise, la cantine numérique de BrestWest Web Valley et bien d'autres) sont dans les starting block.

Le régime de "Métropole", dont pourra prochainement se prévaloir BMO, est d’ailleurs un prérequis dans l’obtention de cette labellisation "Métropole French Tech".

Le but ? Faire éclore des startups repérées comme « pépites », susceptibles de se développer et par effet d’entraînement, d’accélérer la croissance d’autres startups du territoire. L’enjeu est de taille. Il s’agit de fournir des pistes de croissance à notre économie locale en préparant la croissance de demain.

Bpifrance est d’ailleurs aux avant-postes en matière d’innovation et propose aux jeunes pousses des bourses dédiées à la maturation de projets de création d'entreprises innovantes.

Dans l’ère numérique, notre Penn ar bed a incontestablement une carte à jouer pour faire reconnaitre et exporter ses talents économiques novateurs. Et si les prochains Google naissaient dans le Finistère ?