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En librairie à partir du 11 septembre 2017, ”Moments citoyens” de François Marc

2659-Marc-Moments citoyens-inter.jpgTrente-cinq années de mandats électifs divers, notamment de maire et de sénateur, apportent une connaissance approfondie du monde politique et de ses acteurs ainsi qu’une expérience de terrain riche d’enseignements. S’appuyant sur un compte rendu d’activités très bien documenté, François Marc tend à démontrer dans cet ouvrage en quoi "l’expérience du réel" est ce qui donne réellement du sens à l’action politique et à l’œuvre de transformation sociale. À travers une analyse détaillée et argumentée des ressorts de la gouvernance publique, l’auteur revisite les étapes de son propre parcours et illustre son propos de nombreuses anecdotes et d’illustrations très concrètes concernant la vie au quotidien d’un élu de terrain. L’expérience acquise le conduit par ailleurs à mettre en avant le souci de transparence et à démontrer en quoi la fonction d’élu apporte à notre société une réelle plus-value en matière de solidarité et de fraternité.

Moments citoyens

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27/09/2017 | Lien permanent

Compte-rendu d'activité 2016/2017

CRA 2016-2017 Couv.jpgMon compte-rendu d'activité (session parlementaire 2016/2017) a été adressé récemment aux élu(e)s du Finistère.

Élaboré conjointement comme chaque année avec ma collègue Maryvonne Blondin, ce document est une synthèse des travaux annuels, respectifs et communs.

+ d'info d'info

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24/09/2017 | Lien permanent

François Marc, sénateur, raconte ses 35 ans d'élu (Ouest-France, 12.09.17)

francois-marc-senateur-raconte-ses-35-ans-d-elu.jpgArticle tiré du Ouest-France (édition du 12 septembre 2017)

Recueillis par Aude Kerdraon.

Le sénateur se retire de la vie politique à la fin du mois de septembre pour raison de santé. Au travers d'un livre, qui se veut pédagogique, il retrace son parcours de maire et de sénateur.

Pourquoi avoir écrit un livre intitulé Moments citoyens ?

Il s'agit d'un désir de rendre compte d'une fonction élective qui a été longue dans le temps. Puis, est venue se greffer l'envie de faire un peu de pédagogie, de vulgariser ces fonctions car il y a de plus en plus de gens qui se détournent des urnes. Sans doute parce qu'on n'explique pas assez ce qu'est le réel travail d'un élu. Pour certains, la politique est devenue un spectacle. Or, la politique est là pour améliorer le quotidien des gens.

Que mettez-vous en avant dans cet ouvrage ?

Je présente mes différents mandats exécutifs en prenant en compte les contextes, l'environnement, les conditions... Le tout, étayé d'anecdotes. J'aborde plus particulièrement trois axes. Tout d'abord, le principe d'égalité. Aujourd'hui, on constate que le fossé se creuse et ce phénomène doit être au cœur de notre combat. Je mets aussi l'accent sur la nécessité de la décentralisation. Je suis intimement persuadé que l'expérience du terrain est un atout indiscutable pour une bonne gouvernance démocratique. Enfin, je développe des propositions pour mettre en œuvre une régulation financière efficace.

Que vous inspire la situation actuelle du pays ?

Les finances de la France m'inquiètent. Nous sommes dans une grande fragilité. En matière de Défense, il ne faut rien négliger non plus. Les équipements sont obsolètes, vieux... L'environnement est aussi au coeur de mes préoccupations. Enfin, je pense qu'il faut faire très attention aux évolutions des votes vers le populisme et l'extrême droite. Je n'oublie jamais que mon père a passé cinq ans chez les nazis. Il faut être soucieux de remobiliser l'électorat vers la démocratie.

En tant que sénateur, qu'avez-vous été amené à défendre ?

J'ai été investi sur un certain nombre de sujets sensibles comme l'aménagement du territoire, la desserte routière, la loi Littoral, l'écotaxe, l'environnement, les financements spécifiques pour la Bretagne.

Qu'est-ce qui vous a conduit à la politique ?

Je n'étais pas fait pour la politique au départ. J'ai une formation d'économiste avec deux doctorats en poche. Un en économie et un en science de gestion. J'ai été professeur à l'université pendant 25 ans. Mais, j'avais déjà plusieurs idées d'actions collectives en tête. En post-soixante-huitard que j'étais, je voulais changer le monde. Si on veut changer les choses, il faut s'engager et commencer par changer le quotidien.

Comment tout a commencé ?

J'étais déjà intégré dans le monde associatif. La décision de me lancer est venue d'un diagnostic de choses qui manquaient comme des équipements sportifs, l'envie de changer de mode de gouvernance de la commune...

Et maintenant quels sont vos projets ?

Être élu local empiète sur la vie personnelle, familiale... J'ai du temps à rattraper. Je compte aussi poursuivre mon engagement dans le monde associatif local, voire national. Et pourquoi pas poursuivre de nouveaux travaux d'écriture ? Sans oublier de prendre aussi un peu de repos. Bien mérité à 68 ans, non ?

Moments citoyens aux éditions de l'Aube. 308 pages. 19,50 €.

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12/09/2017 | Lien permanent

François Marc. Il tourne les pages de 35 ans de mandats (Le Télégramme, 22.09.17)

francois-marc-ne-se-retrouve-pas-dans-la-politique_3613443_354x330p.jpgArticle tiré du Télégramme (édition du 22 septembre 2017)

Pour François Marc, la politique se mesure à l'efficacité de l'action et s'accomplit à l'écoute des territoires. Vieille école ? Alors qu'il met un point final à 35 ans de mandats, le maire de La Roche-Maurice (29), devenu sénateur, signe un livre (*) d'utilité publique.

Lundi, Jean-Luc Fichet s'installera dans le fauteuil que lui laisse François Marc, son devancier sur la liste PS aux sénatoriales de 2014. Élu depuis 1998 à la Haute Assemblée, le parlementaire nord-finistérien s'arrête à la moitié d'un nouveau mandat. S'il ne laisse rien transparaître sur son visage soulignant un éveil permanent, ses douleurs lombaires affectent un rôle d'élu que même à 67 ans, il n'envisage pas autrement qu'à 100 %. « Depuis 2005, je suis intervenu 4.228 fois en séance, j'ai déposé 3.129 amendements et rédigé pas mal de rapports ». Ce labeur essentiel qui intéresse rarement les médias et ne bouleverse pas d'un trait le destin de la République, François Marc l'a inlassablement restitué à ses administrés et plus spécialement aux grands électeurs finistériens. De tous bords.

Hommage aux maires

C'est d'ailleurs, en partie, à leur attention, que le néo-retraité de la politique vient de sortir son livre « Moments citoyens ». Un condensé de 35 années d'engagements politiques « divers et variés » décrites sous un angle pédagogique. L'ascension du professeur d'économie et de gestion à la fac de Brest démarre aux élections municipales de 1983. Le natif de Plougoulm mène une liste à La Roche-Maurice, commune d'origine de son épouse. « Nous avions fait le diagnostic des manques ». L'aménagement du bourg, une salle de sport et une salle polyvalente sortent de terre. Il sera élu trois fois. « Si l'exercice d'une fonction politique doit viser avant tout à porter attention au sort de ses concitoyens, c'est celle de maire qui illustre le mieux cette définition », écrit-il dans son livre.

Chantre de la décentralisation

Aux cantonales de 1988, le socialiste renverse le roc du plateau de Ploudiry, Pierre Abéguilé. François Marc restera conseiller départemental jusqu'à la disparition de son petit mais bien servi canton de Ploudiry. À Quimper, il prend plusieurs vice-présidences. Il devient aussi premier président de la communauté de communes du Pays de Landerneau-Daoulas (en 1995). Deux collectivités en phase avec ses idées : « Même au Sénat, à Paris, face aux cercles jacobins, j'ai continué de défendre la décentralisation ». Son apogée a duré de 2012 à 2014, sous l'éphémère majorité de gauche, lorsque le fidèle socialiste a occupé la fonction éminente de rapporteur général des finances du Sénat. Là où l'ancien étudiant soixante-huitard, animé par l'envie de changer le monde et combattre les fachos, qui devait rejoindre, plus tard, la « deuxième gauche » de Rocard, estimait encore pouvoir, au moins, améliorer le quotidien des gens.

« Déjà pas mal »

 

« Sur les questions de valeurs locatives, sur les impôts des ménages, la régulation financière, j'ai essayé d'être actif dans le principe d'égalité. Malheureusement, le fossé se creuse dans la société », se désole-t-il, réalisant sa désormais impuissance. « Je ne sais pas si je suis un représentant de la politique à l'ancienne. Je reste convaincu que pour essayer de changer les choses, il faut percevoir les réels besoins des gens à travers les mandats locaux. Selon moi, on devrait toujours pouvoir cumuler un mandat parlementaire et de maire d'une petite commune. Une façon de faire payante en démocratie locale. Si l'on obtient un peu d'efficacité dans ce que l'on fait, c'est déjà pas mal ».

* « Moments citoyens », aux éditions de l'Aube, 19,50 €.

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22/09/2017 | Lien permanent

Merci de votre fidélité

blog.pngOuvert en 2006, ce blog m'a permis de vous tenir régulièrement informés de mes prises de positions et analyses sur de nombreux sujets de mes activités de parlementaire et d'élu local.

Merci à vous tous de m'avoir accompagné dans les débats durant ces douze années.

C'est au total 1408 notes, 14 compte rendus d'activité, 10 notes "oranges" et quelques autres notes relatives aux collectivités, que ce blog a conservés et qui seront dès lors disponibles en consultation d'archives encore plusieurs années durant.

En mettant ici un point final à 35 années d'élu (maire, conseiller général, président de communauté, sénateur), je vous souhaite à tous bonne route dans votre cheminement au service de l'intérêt général.

Je vais pour ma part m'investir davantage dans le bénévolat associatif, en particulier au sein de l'association FINANSOL (voir note ci-dessus).

Bon vent à tous !

François MARC

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FINANSOL : pour que la finance devienne SOLIDAIRE

finansol.pngL'épargne et le patrimoine financier des français, c'est aujourd'hui plus de 4 500 milliards d'euros.

Combien pour la finance solidaire ?

A ce jour, 10 milliards, soit 0,19% de l'ensemble. Ce pourcentage a vocation à s'accroître le plus vite possible.

La finance solidaire correspond à tous les avoirs financiers que leurs détenteurs ont choisi d'orienter prioritairement vers des placements qui privilégient l'action solidaire : environnement, logement des défavorisés, aides au développement, aides aux associations, projets sociaux innovants...

Pour en savoir plus, cliquez ici et vous verrez que chacun à sa façon et en préservant des placements rentables, peut contribuer à mieux faire vivre la finance solidaire.

finasol main.png

FINANSOL

finance et solidarité

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28/09/2017 | Lien permanent

2ème tour des législatives à Morlaix : optons pour la ligne Macron et non pour celle de la droite conservatrice...

françois marc,sénateur,sandrine le feur,législatives,circonscription de morlaixDans la circonscription de Morlaix se trouvent face à face au second tour un candidat de droite et une candidate REM (Macron).

Pour un électeur de gauche, le principal critère de choix porte bien entendu sur les valeurs et les engagements des uns et des autres en faveur d'une société plus égalitaire : égalité professionnelle, égalité hommes/femmes, égalité face aux services publics, égalité d'accès aux soins sans oublier bien sûr la recherche d'égalité dans le domaine fiscal et financier.

Sur ce terrain fiscal et financier, la gauche gouvernementale et parlementaire a mis en chantier depuis 2012 de nombreuses réformes visant à une plus grande égalité entre citoyens et collectivités locales.


J'ai sur ce blog, à plusieurs reprises, appelé de mes vœux une clarification d'Emmanuel Macron sur sa volonté d’œuvrer efficacement à l'aboutissement de ces chantiers en cours portant sur l'égalité. Je regrette qu'aucune réponse claire n'ait été apportée à ce jour.

  • - La réforme du prélèvement à la source (préalable nécessaire à toute grande réforme fiscale) sera-t-elle conduite à son terme ? Aucune certitude en la matière...

  • - La révision des valeurs locatives d'habitation sera-t-elle concrétisée en 2018 comme nous l'avons prévu au parlement sous le gouvernement de gauche ? La question reste en suspend !

  • - La réforme de la DGF versée par l'Etat au collectivités locales sera-t-elle poursuivie dans le sens d'une plus grande équité entre communes ? Aucun engagement à ce jour...

  • - Envisage-t-on de répartir la charge fiscale entre français en sollicitant davantage l'impôt progressif et un peu moins l'impôt proportionnel payé indifféremment par les riches et les moins riches ? Avec l'augmentation prévue de la CSG, le Président Macron semble s'orienter vers une solution contraire à l'option que j'ai toujours défendue au Sénat.

Ces quelques exemples illustrent le fait que sur les questions d'égalité entre citoyens et collectivités, la ligne politique du quinquennat apparaît pour l'heure démunie d'ambition redistributrice.

Pour autant, si en votant dimanche prochain pour la candidate Macron, on peut avoir le sentiment de s'engager dans le flou, ce qui est sûr, en revanche, c'est que la ligne politique défendue par la droite ne manquera pas de percuter violemment nos convictions de gauche. Nul ne peut par exemple oublier que, en matière fiscale, tous les candidats de la primaire de droite prônaient la suppression pure et simple de l'impôt sur la fortune ! Je n'oublie pas non plus que le candidat de droite a, par des propos très agressifs, manifesté dans ses premières interventions au Conseil Départemental une position "anti-gauche" peu soucieuse d'ouverture !

Faire de la politique, c'est choisir !

Contre le retour d'une droite très conservatrice (aussi habile soit-elle en communication !), pour le second tour je voterai Sandrine Le Feur, en dépit des incertitudes programmatiques de la Ligne Macron.

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Merci aux députés socialistes bretons

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Le scrutin des législatives 2017 a révélé un taux d’abstention record : au plan national les votes exprimés représentent moins de 43% des électeurs. Si l’on ajoute les votes blancs ou nuls, ce sont donc moins de 40% des électeurs français qui ont "fait" le vote du 18 juin 2017.

Le constat est très inquiétant !

Car le parti "En marche" qui a recueilli une majorité absolue de députés n’a bénéficié que de 18% des faveurs électorales de l’ensemble des électeurs du pays, ce qui ne peut manquer de générer de l’incertitude pour la gouvernance publique à venir…

Ces chiffres tendent aussi à relativiser les propos péremptoires tenus dans certains médias sur le "rejet massif des socialistes", car c’est bien un phénomène de "zapping" opéré par une frange modeste de l’électorat qui constitue le fait statistique essentiel des résultats.

Les députés socialistes bretons ont eux-aussi eu à subir cette désaffection provisoire dans un cycle politique qui a, de tous temps, comporté des bas et des hauts.

Je tiens, en ce qui me concerne, et après avoir pu mesurer l’investissement personnel considérable de nos députés socialistes bretons au long des cinq années du quinquennat écoulé, à rendre hommage à la qualité de leur travail et à leur disponibilité de tous les instants pour relayer jour après jour les préoccupations des bretonnes et des bretons.

Un grand merci à eux.

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Redressement de l’Economie : le quinquennat Hollande n’était pas si mal !!

1198416_98477822.jpgQue n’a-t-on entendu au sujet des décisions prises en matière d’Économie et de finances sous le précédent quinquennat… Tant à l’intérieur de la majorité présidentielle que chez les opposants politiques, les analyses critiques se sont multipliées…

Je ne peux qu’inviter les auteurs de ces propos très critiques à porter la plus grande attention à la page 4 du journal "Les Échos" paru ce mercredi 21 juin 2017 ! Les titres et intertitres sont à eux seuls très éloquents :

"La croissance au plus haut depuis 6 ans"

L’INSEE table sur une hausse du PIB de 1,6% cette année, la plus forte depuis 2011 et juge la croissance "solide".

"L’investissement des entreprises reste soutenu"

Les économistes de la Banque de France anticipent que le taux d’investissement des entreprises françaises grimpera à 24% de la valeur ajoutée fin 2019, un plus haut niveau depuis le début des années 1970…

"Le Code du travail n’est pas la première barrière à l’embauche"

Les barrières majeures sont du point de vue des entreprises interrogées, l’incertitude de la situation économique ainsi que la difficulté à trouver de la main d’œuvre…

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21/06/2017 | Lien permanent

Optimisation fiscale déloyale : banquiers et avocats dans le viseur de l’Europe !

P034746000302-184644.jpgDepuis plusieurs années déjà, l’Union européenne a entrepris de lutter contre l’évasion fiscale et les circuits de l’évasion fiscale. Elle avait jusque-là dans le viseur les sociétés ou les individus fortunés ainsi que les paradis fiscaux, ces places financières terres d’accueil de fonds frauduleux.

Désormais, l’exigence de transparence s’applique à une nouvelle catégorie d’acteurs, tout autant partie prenante dans les montages susceptibles d’être illégaux, à savoir les intermédiaires que peuvent être les consultants, banquiers, avocats, cabinets de conseil

En montant ainsi au créneau contre les professionnels de l’optimisation fiscale, l’Union Européenne envoie un signal très sain pour l’économie réelle.

Dans la mise en œuvre de ce dossier lourd mais essentiel, il faut saluer le rôle majeur de Pierre Moscovici, commissaire européen aux affaires économiques et financières. Ce dernier ne rappelait-il pas : "La transparence mènera à la justice"…

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22/06/2017 | Lien permanent

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