20/05/2016
Finance parallèle : Doit-on s’inquiéter des 80.000 milliards d'€ d’actifs du shadow banking ?
Le "shadow banking" est souvent traduit en français par "finance de l’ombre" ou "finance parallèle. De telles appellations ne manquent pas d’interroger d’autant que l’intermédiation financière non bancaire est assez souvent mentionnée comme pouvant contribuer à certaines dérives spéculatives susceptibles de créer des bulles financières pernicieuses ou de générer des risques d’un nouveau genre.
Que pèse réellement cette finance parallèle ? De quels risques émergents peut-on faire état ? Faut-il renforcer la régulation de ce secteur financier ? Ce sont là les questions qui appellent une information précise et la plus complète possible.
C’est pour contribuer à atteindre un tel objectif d’information et faire quelques préconisations appropriées en matière de régulation publique de la transparence des marchés que j’ai récemment conduit, au sein de la Commission des affaires européennes du Sénat, un travail d’analyse sur le sujet.
Un rapport a été présenté en commission le 12 mai dernier.
Il est consultable en ligne :
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