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06/12/2016

Primaire de la gauche : ça s'étoffe !

11339625.jpgAvec l'avènement de la 5ème République, s'est institué en France un régime bipolaire droite / gauche qui a donné lieu sans discontinuité à une confrontation "à la régulière" au second tour de la Présidentielle depuis 1958.

La montée inquiétante du populisme va-t-elle remettre en cause cette confrontation  ? Je ne le pense pas... A condition bien sûr que tant du côté de la droite que de celui de la gauche on ait conscience de l'enjeu ! A cet égard, la mise sur pied de primaires ouvertes est devenue l'outil démocratique indispensable en vue d'une clarification des options et d'une mobilisation citoyenne autour des partis de gouvernement.

Avec plus de 4 millions d'électeurs, la primaire de droite a, de ce point de vue, plutôt bien fonctionné...

Qu'en sera-t-il de la primaire de gauche ? A nous de répondre à cette question par une mobilisation massive de nos concitoyens pour la promotion d'une option politique de gauche ambitieuse mais réaliste qui soit bien en phase avec la démarche coordonnée de la Social-Démocratie Européenne.

En se portant candidat à cette primaire, Manuel VALLS offre à cet égard à la gauche une option d'ouverture que n'aurait, me semble-t-il, pas reniée Michel ROCARD.

Nous nous devons de réussir ces primaires de gauche !

05/12/2016

Dangers du Q.E. : Patrick Artus insiste (à juste raison)

M1M2M3€201611.pngPatrick Artus, Chef économiste et membre du comité exécutif de Natixis, a publié ce jour dans le quotidien "Les Échos" un article intitulé "La BCE doit changer de politique monétaire".

Il met notamment en garde contre les effets négatifs du "quantitative easing" (Q.E.), cette politique de création monétaire pratiquée pour relancer artificiellement l’Économie. Il note que ces effets négatifs "deviennent plus puissants au fur et à mesure" que tourne la planche à billets. Depuis un certain nombre d’années, je m’inquiète aussi de l’impact dévastateur de la "drogue monétaire" pour l’Économie réelle et des effets pernicieux concourant à la formation d’une bulle financière.

Notes de F. MARC sur le sujet :

Planche à billets de la BCE : jusqu’où ira-ton ?

Visite au Sénat de Mario DRAGHI, président de la Banque centrale européenne

Quantitative easing : On y est ?

Vendée Globe : le finistérien Armel Le Cléac’h frappe un grand coup !

150416-entrainement-en-solo-au-large-lorient-pour-le-monocoque-60-pieds-imoca-banque-populaire-viii-skipper-armel-le-cleac-h-r-1680-1200.jpgLe Vendée Globe a été jusqu’à présent parcouru à une allure impressionnante par les leaders de la course… Et durant ce week-end, c’est le finistérien Armel Le Cléac’h qui s’est détaché à l’approche du cap Leeuwin (en Australie) en prenant en moins de 48 h plus de 100 milles d’avance sur le britannique Alex Thomson, premier poursuivant.

Bravo au saint-politain Armel Le Cléac’h dont on connait l’esprit de gagneur, la grande résistance physique et l’intelligence de course.

Bon vent à toi.

01/12/2016

Un seul mandat pour François Hollande : un bilan très conséquent !

françois marc,sénateur françois marc,françois ollande,manuel valls,élections,mai 2017,présidentielles,france,europe,démocratie,peuples,parti socialisteLe Président François Hollande vient d’annoncer ce 1er décembre sa décision de ne pas candidater à un second mandat aux élections de mai 2017.

Les motivations de cette décision lui appartiennent et doivent être respectées.

Il m’apparait clairement qu’en un seul mandat, F. Hollande a accompli beaucoup sur le plan de la sécurité du pays, du redressement de l’Économie française, de la justice fiscale, de la politique ambitieuse pour la jeunesse, sans oublier l’adaptation de notre société aux exigences environnementales et aux évolutions sociétales.

Le bilan très conséquent doit être souligné et salué et cela, au-delà du sentiment de tristesse qui ne peut manquer d’être présent en cette soirée du 1er décembre.

Décider de ne pas se représenter est perçu par certains concurrents politiques comme "l’aveu d’un énorme échec". On ne peut manquer de constater que de tels propos sont plus particulièrement émis par ceux qui n’ont jamais exercé la moindre responsabilité de gouvernance publique, ni dans les collectivités, ni à l’échelle nationale ! La critique systématique est aisée… c’est là hélas l’une des maladies contagieuses de notre pays…

Pour ma part, je dis merci à ceux qui assument le risque de la gouvernance, qui se dépensent jour après jour sans attendre en retour. Dans cet esprit, de nouveaux projets d’avenir seront à bâtir pour demain.