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30/11/2016

Sabella : Bpifrance au service des innovateurs du Finistère

Hydrolienne_Sabella_D10_(4).JPGAvec le dossier Sabella, la banque publique d’investissement prouve une nouvelle fois l’attention portée aux jeunes entreprises bretonnes en participant à la levée de fonds de 8 millions €, grâce au fonds "Ecotechnologies".

Basée à Quimper, Sabella est, faut-il le rappeler, à l’origine de la première hydrolienne immergée (2008). C’est aussi Sabella qui développe depuis l’an passé la turbine dans le passage du Fromveur, entre l’Ile d’Ouessant et l’archipel de Molène et participe de ce fait au mix énergétique de ces îles ; une première en France !

A travers cette levée de fonds, la PME quimpéroise est en passe de déployer sa technologie à l’étranger ; ce qui est excellent en termes de retombées positives pour le territoire breton et pour la reconnaissance du savoir-faire de notre filière des Énergies Marines Renouvelables.

 

Levée de fonds de 8 M€ pour SABELLA

Bpifrance, des actions ambitieuses en direction des entreprises des filières des énergies renouvelables

Blog de F. MARC : Viser l’autonomie énergétique des 5 îles finistériennes

29/11/2016

Fillon et l’Economie : plutôt Trump, Reagan ou Thatcher ?

De nombreux commentaires sont aujourd’hui faits sur le programme de Fillon en matière économique. Pour faire la lumière sur la nature des choix budgétaires portés par le candidat Fillon, je conseille cet article de Patrick Artus, chef économiste de la banque Natixis (voir l'article).

Y est décryptée la politique expansionniste voulue par Fillon, avec des baisses d'impôts non financées, et une grande flexibilité du marché du travail.

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28/11/2016

Les socialistes finistériens évoquent le bilan positif du quinquennat

françois marc,sénateur françois marc,marion maury finetti,parti socialiste,présidentielles 2017,manuel valls,françois hollande,croissance,emploi,modèle social,commision des finances,commission des affaires européennes,entreprises,programme,bilan,quinquennatCe samedi 26 novembre 2016, les socialistes finistériens étaient conviés à venir débattre avec les parlementaires des nombreuses avancées du travail législatif sur les textes de loi votés depuis 2012.

Trois thèmes ont été plus particulièrement développés lors de cette journée : Économie et finances, jeunesse et éducation, évolutions de la société.

A l’heure où les conservateurs de droite s’efforcent de privilégier le retour à un modèle figé et inégalitaire de la société française, il était pertinent de soumettre à l’évaluation des forces militantes les très importants chantiers de réformes qui ont été conduits durant ce quinquennat. Le fait est que le travail de pédagogie a parfois été insuffisant ces dernières années et de nombreux militants ont eux-mêmes été parfois surpris de l’ampleur et du nombre des réformes engagées dans le sens de plus de justice et de solidarité.

Les socialistes finistériens ont convenu que cette œuvre législative a permis de disposer d’un socle solide en vue de la mise sur pied d’un projet bien ciblé pour les échéances à venir.

Pour l'avenir, il me semble important que ce socle législatif et donc le bilan du quinquennat puissent être portés collectivement par tous ceux qui ont contribué à leur réalisation depuis 2012.

On ne soulignera d’ailleurs jamais assez l’importance du travail collectif et de l’esprit d’équipe pour que, demain comme hier, la "gauche de gouvernement" puisse soumettre aux français un projet ambitieux et validé de façon démocratique ainsi qu’une candidature légitimée collectivement.

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Crédit photo : PS29

24/11/2016

L’économie sociale et solidaire maintient l’emploi breton à flot !

économie sociale et solidaire,bretagne,finistère,échelon régional,politiques locales,observatoire régional de l'économie sociale et solidaireEntre 2010 et 2015, l’économie sociale et solidaire (ESS) a créé 6900 emplois nets en Bretagne, quand le reste de l’économie privée en perdait 2600.

La contribution de l’ESS au maintien de l’emploi dans notre région a donc été essentielle dans la période de crise récente. Ce phénomène s'est particulièrement illustré au sein du secteur associatif : avec 4700 emplois supplémentaires, le volume d’emploi au sein des associations a ainsi cru de 4,9% entre 2010 et 2015.

Si la loi du 31 juillet 2014 relative à l'économie sociale et solidaire a enfin donné une reconnaissance et une assise législative à l'ESS, il est important que son rôle soit également pleinement pris en compte à l'échelon régional et à travers l'ensemble des politiques publiques locales mises en oeuvre.

Pour plus d'informations : Dynamiques de l'emploi dans l'ESS entre 2010 et 2015

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22/11/2016

Accompagner un proche en perte d'autonomie : le gouvernement agit !

congé de proche aidant, congé de soutien familial, perte d'autonomie, solidarité, droit au répit, allocation personnalisée d'autonomieLe gouvernement a annoncé hier la création, au 1er janvier 2017, du "congé de proche aidant".

Il s'agit là d'une mesure forte en direction des 8,3 millions de Français (membre de la famille, ami, conjoint, …) qui soutiennent et accompagnent au quotidien un proche en perte d’autonomie.

Leur rôle est désormais reconnu dans la loi et de nouveaux droits leur sont octroyés. En transformant le "congé de soutien familial" précédemment mis en place en "congé de proche aidant", cette mesure élargit ainsi les bénéficiaires de ce type de congé aux aidants sans lien de parenté avec la personne qu'ils aident, ainsi qu'aux aidants de personnes accueillies en établissement.

Tout en maintenant l'insertion professionnelle du salarié aidant, ce congé permet ainsi aux proches de consacrer du temps à l'aide d'une personne en perte d’autonomie. Il instaure également la possibilité pour le salarié de transformer ce congé en période d'activité à temps partiel et assouplit ses modalités d'utilisation en permettant son fractionnement.

Cette disposition vient compléter les actions d'ores et déjà mises en place par ce gouvernement depuis 2012 en faveur des proches aidants, qu’il s’agisse du "droit au répit" ou de la revalorisation ponctuelle de l’allocation personnalisée d’autonomie (APA).

21/11/2016

Primaire : la droite reste clairement à droite !

françois marc,primaire,droite,centreLa primaire avait été baptisée "primaire de la droite et du centre". D'aucuns annonçaient depuis des mois la victoire d'Alain JUPPE candidat "attrape tout" qui bénéficiait, nous disait-on, des faveurs des centristes voire même de nombre d'électeurs de gauche désorientés.

Mais lors de ce 1er tour du 20 novembre, les électeurs de droite de cette primaire ont remis les choses au point. En votant massivement pour François FILLON, candidat très à droite sur les "valeurs" et très libéral en économie, ils ont souhaité manifester la volonté d'une ligne politique sans ambiguïté : la droite doit rester la droite un point c'est tout !

L'enseignement à en tirer me semble très clair : échafauder des hypothèses de combinaisons politiques autour "d'un peu de droite, un peu de centre et un peu de gauche" est un exercice qui ne marche pas dans le système politique français bâti autour de la confrontation droite / gauche. A l'approche des présidentielles, veillons par conséquent à placer nos concitoyens face à des alternatives fondées sur la clarté des projets et la sincérité des convictions.

17/11/2016

"L'ERREUR du Sénat"

projet de loi de finances (plf) pour 2017,budget,majorité sénatoriale,droite,question préalable,sénatExceptionnellement cette année, le Sénat ne procédera pas à l'examen du Budget de la France pour 2017.

Pourquoi ?

On peine à le comprendre ! Le journal "Les Échos" de ce 17 novembre n'a d'ailleurs pas manqué de relever l'incongruité de certaines déclarations des leaders de la droite sénatoriale, essayant de justifier cette décision incompréhensible (Citation des Échos du 17 novembre) :

"Les sénateurs de droite, majoritaires, ne font pas dans la demi-mesure quand ils évoquent le budget 2017 du gouvernement, qualifié successivement de "bidon", "maquillé comme une voiture volée" (sic), "marqué par une insincérité inqualifiable", etc..."

On lira à ce sujet ci-dessous l'éditorial d’Étienne Lefebvre intitulé "L'erreur du Sénat" :

La concordance des deux événements tombe bien mal pour le Sénat. Ce dernier a décidé, mercredi, de refuser purement et simplement d'examiner le budget 2017, le dernier du quinquennat, pour dénoncer son « insincérité ». Un fait exceptionnel, qui n'aura pas d'incidence sur l'issue finale du texte (l'Assemblée nationale a de toute façon le dernier mot), mais qui vise à marquer le coup politiquement. « Bidon », « électoraliste », « opération de maquillage »... Les qualificatifs des sénateurs de l'opposition ne manquent pas pour fustiger la copie gouvernementale, les prévisions de croissance comme de déficit étant d'ores et déjà jugées « caduques ».

Mais dans le même temps, à Bruxelles, la Commission européenne validait le projet de loi de finances 2017 de la France, jugeant les objectifs affichés « globalement conformes » à ses exigences (un fait assez exceptionnel aussi). La semaine dernière, les experts bruxellois avaient estimé que le déficit français devrait se situer à 2,9 % de PIB en 2017, soit un peu plus que la prévision de Bercy (2,7 %), mais en dessous du seuil fatidique des 3 %.

On peut comprendre l'agacement du Sénat sur ce dernier exercice budgétaire. De fait, la prévision de croissance sur laquelle il est assis (1,5 %) paraît trop optimiste, et l'exécutif renvoie de nombreuses dépenses sur le prochain quinquennat (crédits d'impôt, salaires des fonctionnaires, etc.), dans des proportions plus importantes que lors des fins de législature précédentes. Mais refuser d'examiner le budget n'est pas la bonne méthode. Les années passées, le Sénat s'était efforcé de démontrer les fragilités du texte de l'exécutif, et d'apporter des éléments constitutifs d'un budget d'alternance. Une méthode qui correspondait davantage à ce que l'on peut attendre de la « chambre haute » du Parlement.

15/11/2016

Ecotaxe, le retour ?

3466463_3_6673_poids-lourd-passant-sous-un-portique-de_0776ad498c2810aba38c2e3df9926614.jpgL’écotaxe est à nouveau évoquée dans la presse depuis quelques jours.

Des organisations du transport routier (la Fédération nationale des transports routiers et l’Organisation des transporteurs routiers européens) s’inquiètent en effet des conclusions rendues le 9 novembre 2016 par le rapporteur public lors de l'audience publique du Conseil d’État.

Sur le terrain politique, la perspective de ressusciter l'écotaxe est par ailleurs clairement perceptible chez certains parlementaires de droite.

Pour preuve, les propos tenus le 2 novembre dernier en commission des finances au Sénat par la sénatrice Les Républicains, Marie-Hélène DES ESGAULX, rapporteur du Budget « transport » : "On doit avoir à l’esprit les 969 millions d'euros que coûte l'échec de l'écotaxe poids lourds. (…) Je ne peux pas laisser dire que la suppression de l'écotaxe est légitime. Jeter un milliard d'euros à la poubelle, et se priver d'un milliard d'euros de recettes par an, cela ne peut laisser insensible... " (voir le compte-rendu).

J’ai, à l’occasion de cette discussion en Commission des finances, dit une nouvelle fois mon opposition au principe de l’écotaxe, rappelant tenir "le même discours sur l'écotaxe depuis 2008, savoir que c’est un dispositif inapproprié qu'il est logique et légitime d'avoir supprimé."

En tout état de cause, la vigilance s’impose car nul ne peut oublier que c’est en loi de finance de 2009 (article 60 du projet de loi de finances pour 2009) sous l’ancienne majorité, qu’avait été mise en place le dispositif de l’écotaxe.

+ d’info : "Le 27 novembre 2008, nous avons voté contre le dispositif prévu pour l'écotaxe en Bretagne".

Le Gouvernement VALLS au secours des îles du Ponant

Je me réjouis du vote favorable intervenu hier soir au parlement en faveur de la proposition gouvernementale de mieux doter financièrement (4 millions d'euros supplémentaires chaque année) les 15 îles du Ponant dont on sait les handicaps financiers dus à leur insularité.

Cette décision est l'aboutissement d'une démarche engagée depuis de nombreux mois par les élus iliens et leur conseiller Yann LE MEUR du Cabinet Ressources Consultants Finances.

Le Ministre du Budget, Christian ECKERT a été convaincu par la justesse des arguments avancés en faveur d'une légitime compensation financière des surcoûts supportés à longueur d'années par les "communes-îles" de l'extrême ouest.

Lors de son déplacement dans le Finistère le 30 septembre dernier, le Premier Ministre accompagné de Jean Yves LE DRIAN, Président e la Région, avait lui-même annoncé la volonté politique du Gouvernement de répondre favorablement à leurs habitants.

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françois marc,sénateur françois marc,commision des finances,commission des affaires européennes,iles du ponant,denis palluel,rdc,yann le meur,territoires,finistère Photo 3

  • Photo 1 : Le 11.07.16 à LA ROCHE-MARICE avec Denis PALLUEL, Maire de Ouessant et président de l’Association des Iles du ponant, Daniel MASSON, Maire de MOLENE et Denis BREDIN, Directeur de l’AIP.
  • Photo 2 : Le 29.09.16, au Sénat, avec Christian ECKERT, Ministre du Budget et Yann LE MEUR de RCF.
  • Photo 3 : Déplacement du Premier Ministre Manuel VALL à GROIX, le 30.09.16.

+ d'info

14/11/2016

TRUMP président ? Où il est une nouvelle fois démontré que l’argent n’a pas d’odeur !

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Le nouveau président des USA avait clairement annoncé la couleur lors de la campagne : les valeurs à privilégier allait être le rejet de l’autre, le racisme, le mépris des plus faibles, la haine… Une question que l’on pouvait dès lors se poser était de savoir comment le monde de la finance allait réagir suite à l’élection surprise de TRUMP à la Maison-Blanche…

La réponse a été clairement donnée ! Car la bourse de Wall Street et celles des autres puissances économiques mondiales ont salué d’une belle envolée cette victoire électorale du maître de l’insulte… Business is business ! Et peu importe le déni des valeurs morales ayant contribué à bâtir le socle de la civilisation occidentale…

Où il est une nouvelle fois démontré que « l’argent n’a pas d’odeur »… mais « sent les profiteurs » (comme l’ajoutait Charles de Leusse) !

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