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20/11/2015

286 milliards de recettes fiscales au budget 2016...

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Lors de la discussion générale sur le Projet de Loi de Finances 2016 au Sénat, mon intervention en séance a porté sur les 286 milliards de recettes fiscales de l’État.


Lire mon intervention.

14/10/2015

Budget 2016 : La situation s'assainit progressivement

Lundi 12 octobre 2015, j'ai participé au débat du "22h" sur Public Sénat, animé par le journaliste Sonia Mabrouk. Les échanges ont porté sur le projet de budget présenté par le gouvernement pour 2016. Ce projet de budget poursuit les engagements d’assainissement entrepris par la France sur trois ans (50 milliards d'euros). On peut bien entendu entendre les difficultés que génère un assainissement d'une telle ampleur mais il faut se rappeler que ce redressement de nos finances publiques est la résultante de l'ampleur du déficit trouvé en 2012.

 
On va plus loin (12/10/2015) par publicsenat

17/07/2015

Grèce : Ce qui compte à présent, c’est la reprise économique

françois marc,sénateur,sénat,grèce,europe,union européenne,grexit,allemagne,reprise,croissance,tsiprasDans la nuit de mercredi, le Parlement grec a approuvé, à une très large majorité, une partie des réformes demandées par les créanciers, pour ouvrir la voie à des négociations sur un nouveau plan d’aide dans le cadre du Mécanisme européen de stabilité (MES). Les "prior actions" ont été adoptées par 229 voix contre 64. Prochaine étape : un plan d’aide pour la deuxième quinzaine d’août. Hier l’Eurogroupe a validé le principe du plan d’aide (80 à 86 milliards d’euros) pour 3 ans.

Comme beaucoup d’européens convaincus, soucieux d’une réelle solidarité européenne, je me félicite de l’évolution favorable du dossier grec, dans le cadre duquel le rôle du président Hollande aura été déterminant. L'Allemagne a d’ailleurs souligné le rôle de la France.

Ce qui compte à présent, c’est la reprise économique sur le sol grec. Pour ce faire, il est essentiel que la Grèce :

- évite tout nouveau dérapage budgétaire,
- fasse en sorte que ce pays ne soit plus miné par le clientélisme,
- mette fin à la pratique des notables de l’évitement de l’impôt.

La Grèce doit se donner la capacité à développer une économie prospère et équitable.

J’espère pour ma part que le gouvernement TSIPRAS sera à même de conduire les réformes indispensables que les précédents gouvernements de droite et de gauche se sont montrés incapables de mettre en œuvre malgré leurs promesses.

09/07/2015

Orientation des finances publiques : le gouvernement a choisi la bonne stratégie !

débat d'orientation des finances publiques, croissance, trajectoire budgétaireJe suis intervenu cet après-midi en séance publique lors du Débat d’orientation des finances publiques de la France pour les années à venir.

J’ai tout d’abord salué les résultats encourageants de notre économie pour 2014 : une croissance en hausse, un déficit public à 4%  et un déficit structurel à 2,1 %, le meilleur résultat atteint depuis l’année 2000 !

Les orientations budgétaires du gouvernement pour les 2 prochaines années font apparaître des perspectives de croissance en hausse (+ 1,0 % en 2015 et + 1,5 % en 2016 – des prévisions qui sont même en dessous de celles des organismes internationaux), et une trajectoire de finances publiques réactualisée : le déficit public passerait sous la barre des 3 % en 2017 et l’équilibre structurel des comptes publics serait atteint l’année suivante.

J’ai indiqué que le gouvernement avait eu raison de revoir ainsi sa trajectoire budgétaire, afin de ne pas tuer la croissance naissante et qu’elle puisse porter très vite ses fruits, notamment en termes d’emploi.

La stratégie de la France pour améliorer des comptes publics et redresser son économie est donc une bonne stratégie, qui repose non seulement sur un plan d’économies sans précédents de 50 milliards sur les dépenses publiques, mais aussi sur des mesures fortes visant à améliorer la compétitivité de notre entreprises, à déverrouiller notre économie (via notamment la loi « Macron ») et à promouvoir l’innovation, la recherche et le développement des nouvelles technologies.

Face à tous ces éléments positifs, on peut le dire sans ambages : la France sera plus forte en 2017 qu’elle ne l’était en 2012 !

25/06/2015

"Brest Tech +" obtient le précieux label

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 Entretien à Bercy avec Axelle Lemaire, le 2 juin 2015

Dans le cadre de la 2ème édition de la "French Touch Conference" qui se tient actuellement à New York, les ministres Emmanuel Macron et Axelle Lemaire ont annoncé les dossiers retenus pour la seconde vague de labellisation "French Tech".

Comme beaucoup, je me réjouis que "Brest Tech +" rejoigne les 9 métropoles déjà labellisées en novembre 2014 (Lille, Lyon, Bordeaux, Toulouse, Aix-Marseille, Grenoble, Nantes, Rennes, Montpellier). 14 candidats étaient en lice pour cette 2ème vague de labellisation.

Parce que le numérique constitue un levier essentiel pour impulser l’économie industrielle digitale de demain, j’ai toujours soutenu la candidature de "Brest Tech +", dans sa première mouture puis dans sa dimension nouvelle sur la base de laquelle les acteurs privés et publics de l’écosystème numérique de la métropole brestoise et des agglomérations de Lannion, Morlaix et Quimper ont décidé d’avancer en commun.

On sait l’intérêt pour la métropole brestoise de bénéficier de cette labellisation. Le numérique constitue en effet un levier essentiel pour impulser l’économie industrielle digitale de demain.

Pour cette raison, nous avions avec François Cuillandre, maire de Brest, et les parlementaire locaux, demandé à pouvoir plaider le dossier "Brest Tech +" auprès de la ministre Axelle Le Maire à Paris (photo ci-dessus).

Car si "Brest Tech +" couvre une population totale de près d’un million d’habitants, elle représente surtout 16 000 emplois, répartis dans 1 620 établissements, sur les filières du numérique (pour 57%), de la mer (pour 22 %), de la banque-assurance (pour 10 %) et sur les filières des transports, de la santé ou des IAA (Industries Agroalimentaires).

Associées avec nos start-up du numérique, les entreprises qui font le tissu économique de nos territoires seront ainsi plus armées pour se confronter à de nouveaux marchés potentiels.

A la clé c’est bien de croissance et d’innovation dont notre territoire bénéficiera.

01/06/2015

L’Ecologie doit être « politique » !

françois marc,sénateur,cop21,environnement,climat,ademe,écologie politique,punitive,ségolène royal,rechauffement,arbitrages,emploi,chômage,crise,richesse,croissance,pibLes résultats de l’étude de l'Ademe rendue publique ce jour révèlent qu’en matière d’écologie, le détachement des Français grandit : Près d'un quart des Français se désintéressent de l'environnement.

Le nombre de personnes prêtes à faire des sacrifices dans leur vie de tous les jours pour la protection de l'environnement est tombé à 41,2%, contre 44,5% auparavant et 56,9% en 2010 ! Les personnes « désengagées » sont pour la plupart (64%) des hommes et sont « surreprésentés chez les chômeurs et les populations modestes ».

Marqués par la crise, les Français se détourneraient donc petit à petit des questions environnementales… On peut tirer de ces données un enseignement simple : l’Écologie n’a de sens que si elle est « politique » !

Convaincre l’opinion publique de façon déterminante sur les questions environnementales, et en particulier sur l’indispensable lutte contre le réchauffement climatique, est devenu une nécessité vitale.

Or, on ne pourra pas y parvenir si on ne développe pas, en amont, un partage équitable des richesses et du patrimoine et si notre modèle socio-économique ne donne pas à chacun une possibilité d’insertion réussie par l’emploi.

Pas d’écologie sans « écologie politique » en quelques sortes...

14/05/2015

Du financement pour nos "gazelles" de l’ouest breton

françois marc,bpi,europe,start-up,innovation,entreprises,pme,eti,brest,brest tech +,plan juncker,millions,euros,croissance,emplois,chômage,territoires,fei,ue Un premier accord signé avec l’Europe dans le cadre du "plan Juncker" permet de porter à 420 millions € le programme de financement des entreprises innovantes mis en œuvre par Bpifrance. L’opération va durer deux ans.

En misant ainsi sur les Entreprise de Taille Intermédiaire, les fameuses « ETI », et plus particulièrement celles à fort potentiel de croissance, l’objectif est de stimuler la croissance et la création d'emplois en France et dans l'Union Européenne.

Autant dire que nos « gazelles » finistériennes, ces entreprises innovantes, de taille moyenne ou intermédiaire et identifiées comme disposant d’un haut potentiel de croissance, vont être la cible naturelle pour tirer parti de ce nouvel outil financier.

Dans notre écosystème ouest breton, ces entreprises en situation d’hyper-croissance, plus d’une quarantaine, ont poussé d’une manière significative. Cette « armée » d’entreprises talentueuses constitue un réel atout qu’il est impératif de valoriser pour notre territoire, qui rappelons-le, est en tête du palmarès, pour ce qui est du nombre de brevets déposés…

(Prêts accessibles aux entreprises françaises à compter du 15 mai 2015).

30/04/2015

François Hollande en déplacement sur le tout nouveau campus des métiers

J’ai eu le plaisir de me joindre ce jeudi 30 avril 2015, au déplacement à Guipavas, du Président François Hollande, sur le nouveau centre de formation d'apprentis créé par la Chambre de commerce et d'industrie de Brest et labellisé « Campus des métiers ».

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Les 2 100 jeunes de 25 ans et moins, dans 42 formations différentes, alternant cours théoriques et périodes en entreprise, peuvent désormais bénéficier des tous nouveaux locaux, équipés de technologies de pointe.

C’est l’aboutissement d’un chantier particulièrement important pour notre territoire. En décembre 2012, j’avais d’ailleurs participé à la pose de la première pierre des travaux, en présence de Thierry Repentin, alors Ministre délégué auprès du ministre du Travail, chargé de la Formation professionnelle et de l'Apprentissage.

L’apprentissage est jugé efficace pour l'insertion professionnelle des jeunes. C’est également une solution intéressante pour les employeurs. Les récentes annonces du Président en faveur de la relance de l'apprentissage dans les petites entreprises sont donc les bienvenues.

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16/04/2015

Programme de stabilité : la politique du gouvernement porte ses fruits !

programme de stabilité 2015-2018, croissance, déficit publicJ'ai posé cet après-midi en séance une question d'actualité au Premier Ministre, Manuel VALLS, sur le programme de stabilité 2015-2018 qui vient d'être présenté par le gouvernement.

Je me suis félicité du fait que celui-ci repose sur un déficit public de seulement 4 % en 2014, alors qu'un taux probable de 4,4 % était annoncé.

On peut ainsi constater que la stratégie du Gouvernement visant à la fois au redressement de l'économie française et à la poursuite de l'assainissement des comptes publics produit des résultats !

Ceci est d'autant plus encourageant lorsqu'on pense à la situation budgétaire qui était celle du pays après 10 ans de gouvernement de droite : plus de 600 milliards de dette supplémentaires entre 2007 et 2012, et un déficit public qui avait atteint des niveaux abyssaux.

Face à ces résultats prometteurs, j'ai rappelé la nécessité de préserver ces perspectives de croissance en choisissant un rythme adapté dans la réduction de notre déficit structurel.

Assainir nos comptes publics, oui, mais sans prendre le risque de freiner la croissance frémissante !

Retrouvez ci-dessous l'intégralité de mon intervention, ainsi que la réponse du Premier Ministre :

Question d'actualité de François MARC au Premier Ministre
Programme de stabilité 2015-2018

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programme de stabilité 2015-2018,croissance,déficit public

François MARC en séance jeudi 16 avril lors de sa question d'actualité, et réponse du Premier Ministre, Manuel VALLS

09/04/2015

De bonnes nouvelles pour l’investissement public local

investissements,investissements publics locaux,françois marc,manuel valls,territoires,fctva,cdc,caisse des dépôts,emplois,croissance,pme,collectivités,collectivités locales,70%Je me réjouis des annonces du Premier Ministre en faveur de la relance de l’investissement public local. Dès cette année, les collectivités territoriales et leurs groupements vont en effet bénéficier d’un soutien pour leurs investissements.

Ceci vient contrecarrer les récentes déclarations de certains sur des décisions d’investissements en retrait. L’investissement public local représente 70% de l’investissement public. Le Gouvernement a pris la mesure des attentes des collectivités et de l’indéniable levier de croissance que ces investissements locaux représentent pour les territoires.

  1. Pour faciliter la trésorière des collectivités, la Caisse des Dépôts met en place une solution de préfinancement à taux zéro des remboursements versés par l’État au titre du FCTVA, à destination de l'ensemble des collectivités territoriales. Ces « prêts d’urgence » représenteront un volume de 1 à 2 milliards d’euros et permettront aux collectivités d’investir.
  2. Manuel Valls a d'autre part rappelé l’augmentation de plus de 30% de la dotation versée aux territoires ruraux pour financer leurs équipements (soit un montant de 800 millions d'euros par an), ainsi que l’aide aux « maires bâtisseurs », ce dispositif spécifique pour encourager la construction de logements par les communes.
  3. Le Premier ministre a également annoncé pour mi-mai des décisions concrètes « pour compenser les effets de la baisse des dotations aux collectivités locales sur l'investissement public », qui pourraient prendre la forme de « dotations d'investissement spécifiques » pour les investissements des communes.

Ces bonnes nouvelles pour l’investissement public local s’inscrivent dans un arsenal plus global de mesures gouvernementales de relance de l’investissement public et privé. Il s’agit-là de bons signaux, vis-à-vis d’une croissance en phase de relance.