Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

01/04/2015

France-Inde : Renforçons nos liens de coopération !

groupe interparlementaire d'amitié france inde sénat,arun kumar singh,aéronautique,croissance

François MARC avec (à sa gauche) l'Ambassadeur d'Inde en France, M. SINGH, accompagnés du Premier Secrétaire de l'Ambassade, M. L. Ramesh BABU, et du bureau du groupe interparlementaire.

En tant que Président du groupe d’amitié interparlementaire France-Inde, j’ai eu l’occasion avec mes collègues de recevoir, ce mercredi 1er avril, S.E. Shri. Arun Kumar SINGH, Ambassadeur d’Inde en France depuis 2013.

On sait que M. MODI , Premier Ministre indien, sera en France dans quelques jours et aura notamment l’occasion de se rendre à Toulouse pour évoquer le sujet de la coopération entre nos deux pays sur le plan aéronautique.

La rencontre au Sénat était l’occasion d’évoquer cette perspective de coopération, mais aussi d’échanger sur les nombreux dossiers où nos deux pays doivent développer, tant sur le plan économique que culturel, des liens élargis et renforcés.

On sait que l’Inde sera dans les prochaines années le pays à taux de croissance le plus élevé (de l’ordre de 7 à 8%).

Le développement du pays offrira donc à nos entreprises des opportunités qu’il est important de savoir saisir.

Sur le plan culturel et intellectuel, les échanges doivent également être élargis et en particulier, l’accueil d’étudiants indiens dans notre pays doit être facilité à l’avenir.

M. SINGH s’est montré particulièrement attentif à toutes nos suggestions concernant les perspectives de cet élargissement de nos liens sur le plan économique et culturel.

 

20/03/2015

L’Inde, nouvelle locomotive économique pour le reste du monde

717326663.jpgEn tant que Président du groupe France-Inde, j’observe avec intérêt l’accélération économique de l’Inde. La croissance indienne (8 % et 8,5 % sur l'exercice 2015-2016) pourrait être la plus forte du monde cette année, en passe de dépasser de ce point de vue la Chine.

Si ces perspectives paraissent très prometteuses, ce nouveau climat des affaires indien devrait par là-même générer des opportunités d’investissement et des effets démultiplicateurs pour nos entreprises, à court et moyen terme.

Outre ce nouveau rôle de moteur clé de la croissance mondiale, l’Inde s’apprête à créer un système de sécurité sociale universelle (annonces du 28 février 2015 du ministre des finances indien, Arun Jaitley).

Même si l’Inde a encore beaucoup de chemin à faire sur le terrain de l’égalité, cela donne un bon signal sur le type de croissance qui est en train de se jouer dans cette partie du globe.

 

06/02/2015

L’innovation nouvelle génération pour nos entreprises

innovation-nouvelle-generation-1-638.jpgJ’avais été au Sénat le rapporteur du projet de loi relatif à la création de Bpifrance. A cette occasion, j’avais pu exprimer ma satisfaction de voir enfin mis à disposition des entrepreneurs un outil (« guichet unique ») regroupant les dispositifs de soutien à leurs actions en matière d’innovation.

Facteur de compétitivité et de croissance, au service des emplois de demain, l’innovation est en effet un atout majeur pour les territoires et les entreprises : elles peuvent ainsi se différencier de la concurrence, pas seulement par de l’innovation technologique à proprement parler, mais aussi dans le service et dans les usages.

Aujourd’hui enfin reconnue à sa juste valeur, l’innovation sociale est soutenue en conséquence. Bpifrance propose ainsi un guide de l’innovation « multidimensionnelle », constitué d’exemples de démarches innovantes en Europe et dans le monde.

Aidons nos entreprises à se saisir de cet outil !

Sur le même sujet : "La Glaz économie s'invente en Bretagne".

 

03/02/2015

Je soutiens « Brest Tech + »

french tech,brest tech +,brest,lannion,morlaix,quimper,tic,startup,croissance"Brest Tech +" est aujourd’hui en course pour la seconde vague de labellisation des métropoles French Tech. Pour répondre à un cahier des charges précis et exigeant, Brest, Lannion, Morlaix et Quimper ont uni leurs forces.

 

Au travers de cette mobilisation, l’écosystème numérique de l’Ouest breton a bien évidemment une carte à jouer :

- pour la création et le développement des startups,

- pour la croissance des entreprises dans le secteur numérique,

- mais aussi pour le tissu économique du territoire qui a fort à gagner de ces nouvelles opportunités de développement et d’activités.

Le dossier "Brest Tech +" démontre en tout état de cause combien l’Ouest breton peut compter sur ses filières d’excellence (sciences et technologies de la mer, agro-alimentaire, défense, cyberdéfense, technologies de l’information et de la communication, banque, santé, transport, tourisme, …).

Je soutiens activement le projet "Brest Tech +", qui j’en suis sûr, s’il était labellisé "French Tech ", trouverait indéniablement sa place auprès des " French Tech Hubs ", labellisés dans les grandes métropoles innovantes du monde.

Voir aussi :

Candidature au label "French Tech"

Numérique. Brest veut le label « French tech »

07/07/2014

Brest se prépare à l’innovation et à la richesse de demain

J’ai pu m’entretenir avec Axelle LEMAIRE, secrétaire d’État au numérique, lors de son déplacement dans le Finistère le 3 juillet, sur le levier potentiel de croissance et d’emplois que représente l’avènement du numérique.

mms_20140703_2.jpg

François MARC, avec Axelle LE MAIRE, secrétaire d’État au numérique
et François CUILLANDRE, maire de BREST, Président de Brest Métropole Océane.

L’ambition de la secrétaire d’État est notamment de faire de notre pays une grande terre d’accueil du numérique et de favoriser l’éclosion de strat ups, qui créent l’innovation et la richesse de demain.

A l’occasion de la sixième édition du Forum des usages coopératifs, les acteurs de l’écosystème brestois du numérique ont pu faire valoir les nombreux atouts de Brest dans sa candidature au label de "Métropole French Tech".

Le PLFR2014 en trois questions

Dans cette courte vidéo, j'explique, en tant que Rapporteur général de la commission des finances :

- le projet de loi de finances rectificative pour 2014, examiné ce jour au Sénat,

- ainsi que les modifications apportées en commission.

Accéder à mon rapport.

Voir la vidéo :

 

20/06/2014

De nouvelles "machines à prêter" ?

Le débat que nous avons eu en Commission des finances au Sénat le 10 juin 2014 sur l’encadrement des banques me tenait à cœur. S’il est incontestable que le contribuable ne doit plus supporter les défaillances bancaires, il est tout aussi essentiel que les banques retrouvent leur fonction première : celle de prêter aux entreprises et de faire fonctionner les territoires. L’audition de Michel BARNIER, commissaire européen chargé du marché intérieur et des services, nous a donné l’occasion de rappeler ces exigences.

union bancaire, sénat, défaillances, territoires, entreprises, pme

La mise en place de l'union bancaire, lancée en juin 2012 par le Conseil européen, est sans doute l'un des projets les plus structurants de l'Union européenne depuis la création de l'union économique et monétaire.

Dans une Europe où le problème de l'un devient très vite le problème de tous, l’union bancaire permet de protéger les épargnants et les contribuables européens, grâce au "mécanisme unique de régulation du système bancaire européen". Autant dire que le débat que nous avons eu en Commission des finances au Sénat le 10 juin 2014 sur l’encadrement des banques me tenait à cœur, compte-tenu de mon engagement sur ce sujet.

La question de l’encadrement des banques rejoint d’ailleurs celle du redressement des comptes publics. Qui voudrait continuer à vivre à crédit, quand on sait notamment que cela enrichit les banques ?!2014-0400-018-CL.jpg Durant cette audition, l'assainissement budgétaire a été abordé, tout autant que la manière de créer les conditions d'un retour à la croissance et à l'emploi. Car il est indispensable que les banques retrouvent leur fonction première et redeviennent des "machines à prêter", des machines à faire fonctionner les territoires et l’économie réelle.

Pour aller plus loin : Lire de compte-rendu de l'audition.

12/06/2014

C’est en conviction que je soutiens le collectif budgétaire

La stratégie économique du gouvernement consiste depuis deux ans à la fois à redresser les comptes publics dans la justice et à soutenir le tissu productif français (pourvoyeur de croissance et d’emplois).

  1. En mettant en œuvre de manière anticipée des économies, le collectif budgétaire, présenté hier par le gouvernement, témoigne de la vigilance à maîtriser le déficit public.
  2. En comportant une mesure de solidarité à l’égard des plus modestes, ce texte comporte également des mesures favorables au pouvoir d’achat.
  3. En détaillant la transcription législative du "pacte de responsabilité et de solidarité", le collectif budgétaire améliore les conditions dans lesquelles les entreprises vont pouvoir relancer la croissance et créer de l’emploi.

Une politique de la demande ne peut à l’inverse fonctionner que s’il y a des moyens financiers ; ce qui n’est pas le cas. C’est donc en conviction que je soutiens ce collectif budgétaire. En deux ans, il y a eu un réel rattrapage en matière de productivité. Désormais, c’est une politique industrielle ambitieuse, notamment au sein de secteurs de pointe, qu’il faut soutenir.

Revoir le débat sur Public Sénat diffusé le 11 juin 2014.
Mon intervention débute à la 15ème minute :

06/06/2014

La success story morlaisienne SERMETA redevient finistérienne grâce à son partenariat avec Bpifrance

françois marc,sénateur,sénateur françois marc,commission des finances,rapporteur général,bpi,bpifrance,sermeta,morlaix,emplois,croissance,territoires,bassin,entreprises,cdc,caisse des dépôrs,carlyne,joseph le mer,économie locale,outil industriel,france,bretagne,attractivité,fleuron,eti,entreprises de taille intermédiaire,tissu économique,employeur privé,600 salariés,etat  Communiqué de presse 05.06.14

François MARC se félicite de la clôture positive des négociations engagées par Joseph LE MER avec son actionnaire américain CARLYLE, permettant le rachat avec Bpifrance de l’entreprise SERMETA qu’il a fondée en 1993.

Ce travail de longue haleine mené par le président fondateur de SERMETA, en bonne intelligence avec les banques locales et avec le soutien majeur apporté par la banque publique d’investissement Bpifrance - créée l’an dernier, lui permet de racheter l’entreprise et de stabiliser ainsi son capital, avec un actionnaire fiable et dans une logique de long terme : Bpifrance engage 180M€ et prend 38% du capital. Cela, au bénéfice de l’emploi local et pour offrir des perspectives de développement clairs à cette entreprise qui est leader mondial dans son domaine.

En tant que parlementaire finistérien et commissaire surveillant de la Caisse des Dépôts et Consignations, (dont Bpifrance est la principale filiale) le sénateur Marc se réjouit de cet investissement massif et porteur d’avenir de la banque publique dans l’économie finistérienne, de nature à préserver l’outil industriel français et breton. SERMETA est en effet le premier employeur privé de Morlaix, et compte en tout, plus de 600 salariés.

La CDC, actionnaire à parité avec l’État de Bpifrance, a donné son plein accord à cette prise de participation majeure de Bpifrance, qui est exemplaire de son rôle de soutien à l’économie locale et d’accompagnement du développement des fleurons de notre tissu industriel.

Une belle démonstration que le pacte d’avenir pour la Bretagne (validé en décembre dernier entre l’État la Région Bretagne avec le partenariat opérationnel de la CDC et de Bpifrance) se décline bien en actes concrets.

 

Sur le même sujet :

28/05/2014

Collectivités locales et start-up gagnent à œuvrer ensemble : Brest doit devenir "Métropole French Tech " !

index.jpgCollectivités locales et start-up gagnent-elles à œuvrer ensemble ? La réponse est évidemment OUI ! Je soutiens la candidature de Brest, en lice pour devenir « Métropole French Tech » et renforcer ainsi son attractivité numérique.

En labellisant les territoires dont les écosystèmes de start-up ont un rayonnement international, l’initiative "French Tech" permet d’accompagner les collectivités territoriales dans leurs projets de concentration et de valorisation des acteurs du numérique, par la mise en réseau et la visibilité des écosystèmes à l’international. Demain c’est la candidature de "Brest Tech" qui sera annoncée au Quartz. La collectivité Brest Métropole Océane est candidate au label "Métropole French Tech". Disposant d’atouts territoriaux indéniables, BMO a toute légitimité à prétendre à cette marque de reconnaissance, sésame vers de riches coopérations, génératrices localement de croissance et d’emplois.

Je souhaite de tout cœur, que la métropole BMO puisse obtenir cette labellisation, levier permettant tout à la fois un soutien plus marqué aux professionnels du numérique de notre territoire et un surcroit d’attractivité et de rayonnement pour notre pointe finistérienne.

Vous aussi, soutenez la candidature de "Brest Tech".