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06/06/2014

La success story morlaisienne SERMETA redevient finistérienne grâce à son partenariat avec Bpifrance

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François MARC se félicite de la clôture positive des négociations engagées par Joseph LE MER avec son actionnaire américain CARLYLE, permettant le rachat avec Bpifrance de l’entreprise SERMETA qu’il a fondée en 1993.

Ce travail de longue haleine mené par le président fondateur de SERMETA, en bonne intelligence avec les banques locales et avec le soutien majeur apporté par la banque publique d’investissement Bpifrance - créée l’an dernier, lui permet de racheter l’entreprise et de stabiliser ainsi son capital, avec un actionnaire fiable et dans une logique de long terme : Bpifrance engage 180M€ et prend 38% du capital. Cela, au bénéfice de l’emploi local et pour offrir des perspectives de développement clairs à cette entreprise qui est leader mondial dans son domaine.

En tant que parlementaire finistérien et commissaire surveillant de la Caisse des Dépôts et Consignations, (dont Bpifrance est la principale filiale) le sénateur Marc se réjouit de cet investissement massif et porteur d’avenir de la banque publique dans l’économie finistérienne, de nature à préserver l’outil industriel français et breton. SERMETA est en effet le premier employeur privé de Morlaix, et compte en tout, plus de 600 salariés.

La CDC, actionnaire à parité avec l’État de Bpifrance, a donné son plein accord à cette prise de participation majeure de Bpifrance, qui est exemplaire de son rôle de soutien à l’économie locale et d’accompagnement du développement des fleurons de notre tissu industriel.

Une belle démonstration que le pacte d’avenir pour la Bretagne (validé en décembre dernier entre l’État la Région Bretagne avec le partenariat opérationnel de la CDC et de Bpifrance) se décline bien en actes concrets.

 

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23/04/2014

Et si les prochains Google naissaient dans le Finistère ?

1506560_10152343088049394_2178362173187984999_n.jpgLa volonté du gouvernement est d’asseoir l’attractivité internationale de la France dans le numérique. Ceci s’est d’abord traduit au travers des "quartiers numériques", initiative soutenue par la Caisse des dépôts. Fin 2013, la démarche "Quartiers numériques" est devenue la "French Tech", portant la volonté de se mobiliser collectivement pour la croissance et le rayonnement international des startups numériques françaises.

L’objectif des French Tech est de « tout faire pour que les prochains Google naissent et se développent ici, en France et en Europe ! ».

Dans le cadre de l'appel à projet "French Tech", Brest Métropole Océane ainsi que les acteurs de l’écosystème du numérique et de la création d’entreprises (tels le Technopole de Brest Iroise, la cantine numérique de BrestWest Web Valley et bien d'autres) sont dans les starting block.

Le régime de "Métropole", dont pourra prochainement se prévaloir BMO, est d’ailleurs un prérequis dans l’obtention de cette labellisation "Métropole French Tech".

Le but ? Faire éclore des startups repérées comme « pépites », susceptibles de se développer et par effet d’entraînement, d’accélérer la croissance d’autres startups du territoire. L’enjeu est de taille. Il s’agit de fournir des pistes de croissance à notre économie locale en préparant la croissance de demain.

Bpifrance est d’ailleurs aux avant-postes en matière d’innovation et propose aux jeunes pousses des bourses dédiées à la maturation de projets de création d'entreprises innovantes.

Dans l’ère numérique, notre Penn ar bed a incontestablement une carte à jouer pour faire reconnaitre et exporter ses talents économiques novateurs. Et si les prochains Google naissaient dans le Finistère ?

04/04/2014

Fiscalité écologique : Ségolène ROYAL a raison sur l'écotaxe

index.jpgSégolène ROYAL, nouvelle Ministre de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie déclare vouloir "une remise à plat de l'écotaxe" qualifiée dans sa version actuelle de "fiscalité punitive".

Ségolène ROYAL a raison de vouloir cette mise à plat. Voilà plusieurs années déjà que j'exprime le point de vue selon lequel toute nouvelle fiscalité "écologique" qui crée des distorsions de concurrence ou de nouvelles inégalités est, à mes yeux, une mauvaise fiscalité écologique. La question est clairement posée pour l'écotaxe dans son dispositif issu de la Loi de Finance pour 2009 (non encore appliquée à ce jour !).

Je me suis ainsi exprimé sur ce sujet dans la revue Communes de France n° 12 de décembre 2013.

J'y indique notamment que : « à mes yeux pour être pleinement efficace, la fiscalité écologique doit être simple afin d'être comprise par nos concitoyens. Elle doit également envoyer des messages clairs en termes de comportements.... Enfin, elle doit être perçue comme juste par tout le monde... »

Ceux qui dans notre pays demandent aujourd'hui que l'écotaxe soit appliquée en l'état et au plus vite afin de procurer des recettes pour les infrastructures de transports apportent la démonstration implicite, par de tels propos, qu'à leurs yeux, l'écotaxe est davantage une fiscalité de rendement qu'une fiscalité écologique ayant vocation à faire changer les comportements.

Oui à une fiscalité écologique ; non aux injustices nouvelles et aux distorsions de concurrence.

31/01/2014

Air France : Nos demandes entendues

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Dans un courrier daté du 23 janvier 2014, le PDG d’Air France me fait savoir qu’un certain nombre de mesures concernant l’amélioration de la desserte du Finistère ont été validées.

Air France mettra ainsi en en place, à la saison été 2014 et pour les premiers vols du matin, un Airbus A319 de 142 sièges à destination d’Orly et un Airbus A318 de 131 sièges à destination de Roissy. Il m’informe également de la baisse en janvier du prix de la carte d’abonnement France-Europe-Afrique du Nord, faisant bénéficier les voyageurs d’affaires de réduction allant jusqu’à 30%.

Ces nouvelles dispositions répondent en partie aux attentes des acteurs économiques locaux que j’avais relayées en octobre dernier.

Une bonne chose pour notre pointe finistérienne.

Photo : Airbus318 par Philippe Noret

29/01/2014

La Caisse des Dépôts soutient l’économie locale

françois marc,caisse des dépôts,commission de surveillance,économie locale,logement social,collectivités territoriales,investissement local,communes,intérêt généralEn tant que commissaire surveillant de la Caisse des dépôts, je me félicite du soutien qu'elle a apporté en 2013 à l’économie locale.

La Caisse des dépôts a apporté en 2013 à l’économie locale près de 21 mds€ de prêts sur fonds d’épargne, alloués l’an passé pour soutenir des projets de long terme sur les territoires. Cette année écoulée représente d’ailleurs un record historique de mobilisation du fonds d’épargne en faveur du logement social, avec après 16,3 mds de prêts signés. Cela doit permettre de financer l’entrée dans le parc social de 110 000 logements et d’en réhabiliter 253 000. L’ensemble des enveloppes disponibles a permis aux collectivités territoriales de bénéficier de plus 4 mds€ de prêts en 2013 pour financer l’investissement local ; au titre de la seule enveloppe de 20 mds, 350 projets ont été soutenus en 2013, dont plus des deux tiers concernent des petites communes. Une marque de plus de l’ancrage de la Caisse des dépôts au service de l’intérêt général et de tous les territoires.

Communiqué de presse de la CDC.