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23/12/2016

Meilleurs vœux 2017 à toutes et à tous

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14/12/2016

L'INSEE confirme la grande souffrance des producteurs laitiers...

photo-d-archives-claude-prigent_2791257_493x330p.jpgL’INSEE a publié ce jour les comptes prévisionnels de l’agriculture pour 2016 et signale une "chute de la valeur de la production agricole".

L'INSEE estime que le revenu net agricole par actif devrait baisser de 15,9% en 2016, par rapport à 2015. En cause, à la fois l’affaissement de la production des produits agricoles et la baisse de leurs prix, liés à de multiples crises.

La chute des volumes (-7 %) relevée par l’INSEE provient essentiellement de la production de lait. Comme le montre l’analyse de l’INSEE, Lait et autres produits de l'élevage représentent en 2016 8,8 Md€, et se rétractent par rapport à 2015 de 2,6 %en volume, de 6,7 % en prix et de 9,1 % en valeur.

En définitive, la collecte laitière se réduit dans un contexte de prix bas. La production européenne s’accroît du fait de la levée des quotas en avril 2015 et elle ne rencontre pas de débouchés suffisants en raison de l’embargo russe et de moindres importations chinoises.

Dans ce contexte, la modernisation des relations entre les différents acteurs de la filière est regardée de près comme le paramètre essentiel d’une solution à la crise laitière qui se poursuit. Car un rapport de force plus équilibré au sein de la filière conditionnera, on le sait, la durabilité de notre modèle de production. Le texte dit Sapin 2 a d’ores et déjà apporté une partie des outils avec le renforcement du rôle des organisations de producteurs (OP). Reste aujourd’hui à instituer davantage de transparence dans les relations fournisseurs et grands groupes ; cela est du ressort de la volonté des acteurs de la filière.

25/07/2016

Annonce des Réseaux Thématiques : BREST FRENCH TECH + est dans la place !

cartes-reseaux-thematiques-bd-03.jpgcartes-reseaux-thematiques-bd-06_0.jpgcartes-reseaux-thematiques-bd-10.jpgcartes-reseaux-thematiques-bd-10.jpg

Ce lundi 25 juillet 2016, était annoncés à LAVAL le renouvellement des 13 labels Métropoles French Tech ainsi que le lancement des Réseaux Thématiques French Tech.

A la reconnaissance du travail de structuration locale opéré depuis un an par notre Métropole BREST FRENCH TECH +, vient s’ajouter la labellisation "Réseaux thématiques" de filières qui font la force de notre région.

A cet égard, fintech (ces start-up qui renouvellent les services financiers et bancaires au travers de la technologie), santé (e-santé, technologies médicales et biotech), Internet des Objets ("IoT") et foodtech (associée à l'agriculture et à l'agroalimentaire) sont officiellement identifiés "Réseaux Thématiques French Tech" et vont pouvoir bénéficier des dispositifs très concrets au service des entrepreneurs.

Bravo aux acteurs qui portent ces projets bénéfiques pour notre pointe bretonne.

"French Tech Brest +" défend les filières de demain

25/05/2016

Tout est bon dans… les algues finistériennes

françois marc,sénateur,sénateur françois marc,finistère,bretagne,mer,emr,glaz economie,croissance,emploi,emplois,filière,algues,territoire,commission des finances,innovation,région,département,penn ar bed,france 5France 5 propose une visite guidée chez un des leaders de la production d'algues alimentaires, dans le Finistère.

Intitulé "Algues, les délices de la mer", ce reportage montre combien notre région est en pointe sur cette filière, identifiée qui plus est "filière à fort potentiel" dans la GLAZ économie.

En plein essor, la filière "algues" trouve des applications dans le secteur alimentaire, la cosmétique, la santé, la nutrition, la biotechnologie… Autant de sources de croissance économique pour le territoire.

Voir la vidéo

18/05/2016

Viser l’autonomie énergétique des 5 îles finistériennes : une aide d’un million d’euros de l’Etat

françois marc,sénateur,sénateur françois marc,socialiste,ps,commission des finances,ségolène royal,environnement,ouessant,iles du ponant,tee,transition énergétique,molène,sein,glénan,ile de batz,énergie,consommation,sabella,hydrolienne,emr,mer,croissance bleue,filière,brest,bretagne,finistère,penn ar bed,quimper,territoire,périphérique,phare,attractivité,richesseLors de son déplacement sur l'île d'OUESSANT ce 13 mai, la ministre de l’Énergie et de l'Environnement Ségolène ROYAL a annoncé une enveloppe d'un million d'euros pour soutenir les projets de transition énergétique dans les onze îles bretonnes.

Pour contribuer à rendre les îles "autonomes en énergies", ce soutien financier porte sur des projets innovants, de maîtrise de la consommation d'énergie, de transports propres et de production d'énergies renouvelables.

Dans le Finistère, nos cinq îles du bout du monde sont concernées par ce soutien financier : BATZ, OUESSANT, MOLENE, SEIN, et l'archipel des GLENAN.

Habitées à l'année, nos îles finistériennes fonctionnent selon des modèles énergétiques différents : BATZ est raccordée au réseau électrique du continent câbles sous-marins. SEIN et MOLENE ont sur leur territoire d’une production locale d'électricité. OUESSANT dispose depuis peu d’un mix énergétique fioul et énergies renouvelables, grâce à l’hydrolienne récemment immergée et qui convertit l'énergie des courants du Fromveur en électricité pour les Ouessantins. Une première en France !

Nos îles sont une véritable richesse pour le Penn ar Bed. Elles représentent un réel atout territorial, du point de vue économique, touristique, environnemental, patrimonial et bientôt énergétique !

06/10/2015

La sécurité routière dans le Finistère : Des chiffres encourageants

image à utiliser.jpgPour enrayer la mortalité sur les routes de France, en hausse cette année, le Premier ministre a récemment annoncé 22 nouvelles mesures dans le cadre du Comité interministériel de la sécurité routière (CISR).

Pour notre département du Finistère, je relève que les chiffres de la sécurité routière, transmis par les services de la Préfecture, sont plutôt encourageants.

A la date du 20 septembre 2015 et sur une période comparable, le bilan chiffré de l’accidentologie montre une stabilité du nombre de personnes tuées (28 dans les deux cas), une quasi-stabilité du nombre de blessés (544 cette année contre 549 l’an dernier, soit une baisse de 1%) et une légère régression du nombre d’accidents (408 contre 421, soit une baisse de 3%).

30/03/2015

Finistère : victoire méritée pour la majorité sortante

élections départementales,29 mars 2015,penn ar bed,candidats,candidates,binomes,ump,finistère et solidairesLes élections départementales des 22 et 29 mars ont, en Finistère, confirmé la place prépondérante de la gauche ("socialistes" et "divers gauche") puisque des candidats de la majorité sortante ont été élus ou réélus dans 14 cantons (contre 11 pour la droite et 2 "indéterminés" mais où les vainqueurs ont été élus contre des candidats de l'UMP...).

C'est donc là un très bon résultat au regard du contexte politique national du moment.

Je me félicite pour ma part que nos candidats aient, durant cette campagne, mené un travail d'explication de grande qualité en mobilisant nos concitoyens autour des compétences majeures du Conseil général. Ce travail d'explication n'a pas toujours été aussi consistant de la part de certains candidats concurrents qui ont parfois cédé à la facilité de slogans populistes !

Bravo donc à tous nos candidats de "Finistère et Solidaires" qui, élus ou non élus, ont porté haut les couleurs de la démocratie dans le Penn ar Bed.

Grâce à eux, le Finistère sort grandi de cette consultation électorale départementale.

11/03/2015

Le conseil général du Finistère cité en exemple pour sa bonne gestion.

20090422213121!Logo_cg29_horizontal.jpgQu’il s’agisse du niveau moyen de dépense de fonctionnement par habitant ou de son niveau d’endettement, le département du Finistère n’a pas à rougir de sa gestion. Bien au contraire. L’étude réalisée par l’association « Contribuables associés » le place parmi les très bons gestionnaires. De quoi partir sur de saines bases pour les élu-e-s qui seront aux manettes dans la gestion de notre Penn ar bed, au sortir des élections départementales des 22 et 29 mars prochains.

Accéder à l’étude.

23/04/2014

Et si les prochains Google naissaient dans le Finistère ?

1506560_10152343088049394_2178362173187984999_n.jpgLa volonté du gouvernement est d’asseoir l’attractivité internationale de la France dans le numérique. Ceci s’est d’abord traduit au travers des "quartiers numériques", initiative soutenue par la Caisse des dépôts. Fin 2013, la démarche "Quartiers numériques" est devenue la "French Tech", portant la volonté de se mobiliser collectivement pour la croissance et le rayonnement international des startups numériques françaises.

L’objectif des French Tech est de « tout faire pour que les prochains Google naissent et se développent ici, en France et en Europe ! ».

Dans le cadre de l'appel à projet "French Tech", Brest Métropole Océane ainsi que les acteurs de l’écosystème du numérique et de la création d’entreprises (tels le Technopole de Brest Iroise, la cantine numérique de BrestWest Web Valley et bien d'autres) sont dans les starting block.

Le régime de "Métropole", dont pourra prochainement se prévaloir BMO, est d’ailleurs un prérequis dans l’obtention de cette labellisation "Métropole French Tech".

Le but ? Faire éclore des startups repérées comme « pépites », susceptibles de se développer et par effet d’entraînement, d’accélérer la croissance d’autres startups du territoire. L’enjeu est de taille. Il s’agit de fournir des pistes de croissance à notre économie locale en préparant la croissance de demain.

Bpifrance est d’ailleurs aux avant-postes en matière d’innovation et propose aux jeunes pousses des bourses dédiées à la maturation de projets de création d'entreprises innovantes.

Dans l’ère numérique, notre Penn ar bed a incontestablement une carte à jouer pour faire reconnaitre et exporter ses talents économiques novateurs. Et si les prochains Google naissaient dans le Finistère ?

03/12/2013

Accessibilité du Penn ar bed : un combat sans cesse recommencé…

françois marc,penn ar bedNul ne peut contester la situation péninsulaire de l’extrême-Ouest breton (« le penn ar bed »). Ce positionnement éloigné géographiquement a amené depuis des décennies nombre de Bretons à se mobiliser en faveur d’un désenclavement et d’une desserte améliorée de la pointe finistérienne.

On peut à cet égard rappeler la démarche du CELIB en faveur d'une meilleure desserte ferroviaire et routière. S'agissant du plan routier, c'est lors du Comité d'aménagement du territoire du 9 octobre 1968 que les premiers engagements nationaux furent annoncés. Mais c'est surtout l'intervention solennelle du Président de la République à QUIMPER le 2 février 1969 qui a fait date. En effet, lors de cette intervention, le Général DE GAULLE exprima l'engagement public décisif de l’État en faveur d'un réseau de voies « express » gratuites, d'un port en eau profonde à ROSCOFF et d'une électrification des voies ferrées jusqu'à BREST et QUIMPER.

On peut se féliciter que l'essentiel de ces réalisations (il reste toutefois des sections de route à finir sur la RN 165) ait pu être menées à bien durant les années fastes des décennies 70 et 80.

S'agissant de la gratuité du réseau de voies « express », le débat récent sur l'écotaxe a fait resurgir la question de la légitimité de cet engagement historique de la République en faveur du territoire péninsulaire breton.

Cette question de gratuité des voies « express » bretonnes n'est pas seulement une question de principe ! Car le maintien d'une localisation à l'extrême ouest de nos entreprises est conditionné au plan économique par l'exigence de ne pas voir « ajouter du handicap au handicap »...

Pour accéder au cœur de l'Europe, les entreprises finistériennes sont d'ores et déjà confrontées à un coût logistique élevé. Renchérir un peu plus le coût du transport risquerait de conduire à une fuite vers l'est des sièges d’entreprises et des unités industrielles.

C'est là l'argument essentiel que j'avais développé au Sénat dans la nuit du 27 au 28 novembre 2008 lorsqu’à été mis en débat l'article 60 du PLF 2009 qui portait création de l'écotaxe. Je n'avais pas été entendu et, avec d’autres, j'avais voté contre le dispositif proposé, beaucoup trop pénalisant à mes yeux. Ma position n’a bien sûr pas changé sur ce sujet.

C'est aussi dans le même esprit que j'avais dénoncé, dès 2010, les reculs constatés par rapport à l'objectif n°1 du contrat de plan « État - Région » signé en 2007 et qui annonçait la volonté de mettre BREST et QUIMPER à 3 heures de PARIS par un vrai TGV. On se souvient qu'en 2009 et 2010, certains à PARIS avaient eu à l'idée de mettre sous l'éteignoir ce projet des voies nouvelles vers BREST et QUIMPER au profit d'une priorité donnée à une nouvelle voie entre RENNES et NANTES.

Je me félicite sur ce point que, pour la préparation du « pacte d’avenir Bretagne », le Préfet de région ait annoncé le 15 novembre dernier, à Rennes, devant les parlementaires, qu’un crédit de 40 millions d’euros allait être réinscrit en urgence pour la phase préparatoire d’étude de ce projet « Brest et Quimper à 3 heures ». On ne peut manquer de rappeler que lors de la réunion du « Contrat de plan 2007-2013 à mi-parcours » (tenue à Rennes le 11 janvier 2011), 74 millions d’euros de crédits inscrits en 2007 à cette fin avaient été enlevés et redéployés ailleurs !!

À vrai dire, la mobilisation pour la desserte de la péninsule bretonne nécessite un engagement de tous les instants. Cela vaut en ce moment pour les conditions de desserte aérienne et de tarification « Air France » de Brest et Quimper, ou encore pour l’avenir des compagnies maritimes (en particulier Brittany Ferries). Le combat pour l’accessibilité du Pen ar bed est un combat sans cesse recommencé…