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25/07/2016

Annonce des Réseaux Thématiques : BREST FRENCH TECH + est dans la place !

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Ce lundi 25 juillet 2016, était annoncés à LAVAL le renouvellement des 13 labels Métropoles French Tech ainsi que le lancement des Réseaux Thématiques French Tech.

A la reconnaissance du travail de structuration locale opéré depuis un an par notre Métropole BREST FRENCH TECH +, vient s’ajouter la labellisation "Réseaux thématiques" de filières qui font la force de notre région.

A cet égard, fintech (ces start-up qui renouvellent les services financiers et bancaires au travers de la technologie), santé (e-santé, technologies médicales et biotech), Internet des Objets ("IoT") et foodtech (associée à l'agriculture et à l'agroalimentaire) sont officiellement identifiés "Réseaux Thématiques French Tech" et vont pouvoir bénéficier des dispositifs très concrets au service des entrepreneurs.

Bravo aux acteurs qui portent ces projets bénéfiques pour notre pointe bretonne.

"French Tech Brest +" défend les filières de demain

18/06/2016

"French Tech Brest +" défend les filières de demain

1220_FT_Brest_déclinaisons_villes.jpgEn lice pour les Réseaux thématiques French Tech, "Brest Tech +" devenu "French Tech Brest +" en avril dernier (pour plus de visibilité), a postulé en déposant six dossiers pour défendre des filières du grand ouest, empreintes d’innovation et d'excellence :

  • => la fintech (ces start-up qui renouvellent les services financiers et bancaires au travers de la technologie) ;
  • => l'Internet des Objets ou "IoT" (télécoms et électronique) ;
  • => la santé (e-santé, technologies médicales et biotech) ;
  • => l’économie bleue avec "océan tech" ;
  • => la photonique (utilisation de la lumière dans des composants de haute technologie) ;
  • => la foodtech, associée à l'agriculture et à l'agroalimentaire.

Lire l'article "Réseaux thématiques French Tech : Brest+, terre (et océan) d'innovation" : 

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16/05/2016

EMMAÜS : 60ème anniversaire

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Le slogan du moment.

J’ai participé ce dimanche aux fêtes du 60ème anniversaire de la fondation EMMAÜS France au RELECQ-KERHUON. La communauté EMMAÜS Brest/Morlaix compte 40 compagnons, 60 bénévoles, 3 responsables et 3 salariés. Le principe de base des communautés EMMAÜS est bien connu : les compagnons trouvent à la communauté un toit et les moyens de subsistance en échange de leur travail. Il s’engagent à respecter les règles d’accueil, partage et solidarité.

Ces fêtes brestoises du 60ème anniversaire se sont déroulées dans une ambiance de grande convivialité.

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Dimanche matin "Tintin" a raconté avec émotion son parcours au sein d’EMMAÜS durant 22 ans (il est aujourd’hui à la retraite et œuvre comme bénévole après ses 22 années de travail comme compagnon).

30/03/2016

Le printemps indien en Bretagne

affiche-festival-2016-699x1024.jpegLe festival "Armor India" débute ce 29 avril.

D'ici un mois, MORLAIX et sa région vivront au rythme des nombreux évènements prévus dans le cadre de cette édition 2016. Spectacles de danse indienne, exposition de photos, concerts et conférences, le programme de cette année 206 témoigne une fois encore de la richesse de la culture indienne mais également des liens qui unissent l’Inde et la Bretagne.

Bravo aux organisateurs et à l’Association AADI qui se mobilisent ainsi sur le territoire pour nouer et faire vivre cette relation entre l’Inde et la Bretagne.

Voir le programme

Entretien avec Jean-Claude BRETON, président de l'AADI (Cap Finistère, 31.03.16)

 

04/12/2015

Numérique : "Brest tech +" recrute !

pres-de-40-postes-pourvoir-lannion-brest-morlaix-et-quimper.jpgUne quarantaine de postes sont à pourvoir à Brest, Lannion, Morlaix et Quimper. Pour répondre aux besoins des entreprises du numérique, "Brest tech +" et "Pôle Emploi" organisent un salon de l’emploi en vue de recruter ingénieurs, techniciens, e-marketing développeurs et community managers…
Les 21 entreprises du numérique du territoire lancent cette opération du 5 au 17 décembre, depuis le site "salonenligne.pole-emploi.fr".
L’essor du numérique est aujourd’hui une réalité sur le marché de l’emploi ; ceci justifie bien que l’on pousse les feux sur ce secteur qui draine des métiers nouveaux. Cette vague de recrutements témoigne également du potentiel de croissance que recèle le territoire "Brest tech +" et illustre, s’il était nécessaire, l’intérêt et l’utilité d’un label "French tech".

+ d'info

25/06/2015

"Brest Tech +" obtient le précieux label

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 Entretien à Bercy avec Axelle Lemaire, le 2 juin 2015

Dans le cadre de la 2ème édition de la "French Touch Conference" qui se tient actuellement à New York, les ministres Emmanuel Macron et Axelle Lemaire ont annoncé les dossiers retenus pour la seconde vague de labellisation "French Tech".

Comme beaucoup, je me réjouis que "Brest Tech +" rejoigne les 9 métropoles déjà labellisées en novembre 2014 (Lille, Lyon, Bordeaux, Toulouse, Aix-Marseille, Grenoble, Nantes, Rennes, Montpellier). 14 candidats étaient en lice pour cette 2ème vague de labellisation.

Parce que le numérique constitue un levier essentiel pour impulser l’économie industrielle digitale de demain, j’ai toujours soutenu la candidature de "Brest Tech +", dans sa première mouture puis dans sa dimension nouvelle sur la base de laquelle les acteurs privés et publics de l’écosystème numérique de la métropole brestoise et des agglomérations de Lannion, Morlaix et Quimper ont décidé d’avancer en commun.

On sait l’intérêt pour la métropole brestoise de bénéficier de cette labellisation. Le numérique constitue en effet un levier essentiel pour impulser l’économie industrielle digitale de demain.

Pour cette raison, nous avions avec François Cuillandre, maire de Brest, et les parlementaire locaux, demandé à pouvoir plaider le dossier "Brest Tech +" auprès de la ministre Axelle Le Maire à Paris (photo ci-dessus).

Car si "Brest Tech +" couvre une population totale de près d’un million d’habitants, elle représente surtout 16 000 emplois, répartis dans 1 620 établissements, sur les filières du numérique (pour 57%), de la mer (pour 22 %), de la banque-assurance (pour 10 %) et sur les filières des transports, de la santé ou des IAA (Industries Agroalimentaires).

Associées avec nos start-up du numérique, les entreprises qui font le tissu économique de nos territoires seront ainsi plus armées pour se confronter à de nouveaux marchés potentiels.

A la clé c’est bien de croissance et d’innovation dont notre territoire bénéficiera.

23/06/2015

Apprentissage: Nous pouvons mieux faire !

index.jpgNous disposons dans le Finistère d’outils pédagogiques de qualité tout à fait performants pour former nos jeunes apprentis. Qu’il s’agisse des CFA (centre de formation d’apprentis) gérés par les Chambres des métiers ou du Campus des métiers, on constate que l’on dispose encore d’une capacité d’accueil assez significative.

A l’occasion de la visite du président Hollande sur le Pôle des métiers à Guipavas et de la venue du Ministre Resbsamen pour l’inauguration du campus des métiers à Quimper, le besoin d’attractivité pour la filière de l’apprentissage avait été évoqué.

Lors de l’AG de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat du Finistère qui s’est tenue ce 22 juin à Morlaix et à laquelle j’ai participé, il a été rappelé combien les familles ont encore tendance à préférer le cursus classique. Dans bien des cas, des jeunes ont emprunté le cursus universitaire sans succès à la clé. Vers l’âge de 20 ou 21 ans, ils reviennent alors vers la filière "métiers"… Cela est quelque peu dommage car on constate souvent que dès 18 ou 19 ans, les jeunes disposent d’une réelle capacité à s’insérer professionnellement.

La filière de l’apprentissage souffre d’un déficit d’image ; cela est bien connu. Ce qui est peut-être plus nouveau et qui a été évoqué lors de cette AG c’est cette forme de "gâchis" dans l’orientation des jeunes. Car les jeunes qui reviennent du cursus classique après y avoir connu un échec ont d’une certaine manière perdu des années d’études.

Sur ce point, il appartiendra à la Région, qui a beaucoup fait déjà pour l’apprentissage, d’œuvrer au niveau des familles à valoriser l’apprentissage.

Les annonces du Gouvernement en matière d’embauche sont appelées à dynamiser l’employabilité des apprentis. En effet, toutes les petites entreprises qui embaucheront un premier salarié, dès maintenant, bénéficieront d’une prime à l’embauche de 4 000€ ainsi que d’allégements de cotisations sociales. Cette avancée concerne les employeurs, les potentiels « patrons de stage ».

Une partie du chemin a été faite, reste maintenant aux jeunes et à leur famille de faire les bons choix au bon moment.

03/02/2015

Je soutiens « Brest Tech + »

french tech,brest tech +,brest,lannion,morlaix,quimper,tic,startup,croissance"Brest Tech +" est aujourd’hui en course pour la seconde vague de labellisation des métropoles French Tech. Pour répondre à un cahier des charges précis et exigeant, Brest, Lannion, Morlaix et Quimper ont uni leurs forces.

 

Au travers de cette mobilisation, l’écosystème numérique de l’Ouest breton a bien évidemment une carte à jouer :

- pour la création et le développement des startups,

- pour la croissance des entreprises dans le secteur numérique,

- mais aussi pour le tissu économique du territoire qui a fort à gagner de ces nouvelles opportunités de développement et d’activités.

Le dossier "Brest Tech +" démontre en tout état de cause combien l’Ouest breton peut compter sur ses filières d’excellence (sciences et technologies de la mer, agro-alimentaire, défense, cyberdéfense, technologies de l’information et de la communication, banque, santé, transport, tourisme, …).

Je soutiens activement le projet "Brest Tech +", qui j’en suis sûr, s’il était labellisé "French Tech ", trouverait indéniablement sa place auprès des " French Tech Hubs ", labellisés dans les grandes métropoles innovantes du monde.

Voir aussi :

Candidature au label "French Tech"

Numérique. Brest veut le label « French tech »

06/06/2014

La success story morlaisienne SERMETA redevient finistérienne grâce à son partenariat avec Bpifrance

françois marc,sénateur,sénateur françois marc,commission des finances,rapporteur général,bpi,bpifrance,sermeta,morlaix,emplois,croissance,territoires,bassin,entreprises,cdc,caisse des dépôrs,carlyne,joseph le mer,économie locale,outil industriel,france,bretagne,attractivité,fleuron,eti,entreprises de taille intermédiaire,tissu économique,employeur privé,600 salariés,etat  Communiqué de presse 05.06.14

François MARC se félicite de la clôture positive des négociations engagées par Joseph LE MER avec son actionnaire américain CARLYLE, permettant le rachat avec Bpifrance de l’entreprise SERMETA qu’il a fondée en 1993.

Ce travail de longue haleine mené par le président fondateur de SERMETA, en bonne intelligence avec les banques locales et avec le soutien majeur apporté par la banque publique d’investissement Bpifrance - créée l’an dernier, lui permet de racheter l’entreprise et de stabiliser ainsi son capital, avec un actionnaire fiable et dans une logique de long terme : Bpifrance engage 180M€ et prend 38% du capital. Cela, au bénéfice de l’emploi local et pour offrir des perspectives de développement clairs à cette entreprise qui est leader mondial dans son domaine.

En tant que parlementaire finistérien et commissaire surveillant de la Caisse des Dépôts et Consignations, (dont Bpifrance est la principale filiale) le sénateur Marc se réjouit de cet investissement massif et porteur d’avenir de la banque publique dans l’économie finistérienne, de nature à préserver l’outil industriel français et breton. SERMETA est en effet le premier employeur privé de Morlaix, et compte en tout, plus de 600 salariés.

La CDC, actionnaire à parité avec l’État de Bpifrance, a donné son plein accord à cette prise de participation majeure de Bpifrance, qui est exemplaire de son rôle de soutien à l’économie locale et d’accompagnement du développement des fleurons de notre tissu industriel.

Une belle démonstration que le pacte d’avenir pour la Bretagne (validé en décembre dernier entre l’État la Région Bretagne avec le partenariat opérationnel de la CDC et de Bpifrance) se décline bien en actes concrets.

 

Sur le même sujet :

08/04/2014

Bpifrance : mise en œuvre réussie de la proposition du candidat Hollande !

index.jpgJ’ai rencontré vendredi 4 avril 2014, à Brest, au sein de l’antenne locale de Bpifrance, Eric VERSEY, directeur régional de Bpifrance Bretagne et Christophe SEILLIER, délégué régional Morbihan-Finistère de Bpifrance, interlocuteur unique sur le territoire du financement public des entreprises.

Première promesse de campagne de François Hollande, la Banque publique d’investissement (BPI) peut aujourd’hui se confronter à l’épreuve des résultats. Les chiffres pour 2013 sont excellents et les réalisations territoriales à la hauteur des enjeux.

L’implication de Bpifrance auprès du fondateur de l’entreprise morlaisienne SERMETA, pour stabiliser le capital et le rendre au territoire, constitue à ce titre, une vitrine exemplaire du rôle de facilitateur et d’impulsion que joue Bpifrance au service de notre économie. Actuellement, les entreprises redressent la tête mais restent vulnérables.

En ces temps incertains, Bpifrance se révèle extrêmement utile pour prendre en charge le coût du risque, qu’il s’agisse de TPE, de PME, d’ETI.

Essentielle aux partenariats financiers à mettre en place en direction des entreprises, Bpifrance a incontestablement un rôle à jouer pour soutenir nos entreprises finistériennes, participer à un aménagement du territoire équilibré, assoir des filières émergentes ou bien faire renaître des filières en difficulté.