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26/10/2011

F. Hollande en chef de chantier...

François Hollande, présidentielles 2012, parti socialiste, victoireLes 3 millions d'électeurs qui se sont exprimés lors des primaires citoyennes ont, à une nette majorité, choisi François Hollande pour conduire la gauche à la victoire en mai 2012. En faisant ce choix, ils ont confié à F. Hollande un vaste chantier !

Car il faut bien le dire, notre édifice national se trouve aujourd'hui dans un état de dégradation inquiétant...

Il y a beaucoup à faire pour la croissance économique, pour la justice fiscale, pour l'avenir de la jeunesse, etc...

F. Hollande est un homme solide et tenace...Heureusement ! Le chef de chantier va être très sollicité... Mais il pourra compter sur le soutien actif de millions de Français !

Bon courage François...

24/10/2011

Le télétravail change la vie au conseil général

cg 29.jpgL'édition du jour du journal Ouest France propose un entretien relatif au TELETRAVAIL, mis en place actuellement au Conseil général : 

Le télétravail change la vie au conseil général.

21/10/2011

Libre admiration des collectivités : Restons vigileants.

ifrap.jpgInsidieusement, le gouvernement parvient aujourd’hui à limiter le pouvoir des décideurs locaux. Cette centralisation trouve de plus en plus d'écho et de défenseurs dans l’expression libérale.

On peut ainsi voir formuler des propositions totalement affranchies des acquis de la décentralisation. Dernier exemple en date, le think tank Ifrap (Fondation pour la Recherche sur les Administrations et les Politiques Publique) qui estime qu’un réel effort de rigueur exigerait de faire sauter le sacro-saint principe de « libre administration » des collectivités locales, en leur imposant le non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite. Les communes refusant en outre de fusionner perdraient une partie de leurs dotations !

La décentralisation reste donc une bataille d’actualité, pour laquelle nous devons rester en alerte !

Finances locales : Des élus locaux en manque total de repère

question crible.jpgA mon sens, le malaise des territoires tient pour partie à la question des ressources des collectivités territoriales et des financements susceptibles d’être mobilisés pour l’investissement. A l’occasion des questions cribles sur le « malaise des territoires », je me suis exprimé au Sénat mardi 18 octobre rappelant que les collectivités territoriales assurent plus de 70 % de l’investissement public en France. Dorénavant, de quels moyens vont-elles disposer pour financer cet investissement ?

Gel de leurs ressources traditionnelles provenant du budget de l’État, réduction de le autonomie financière, difficultés de contrcztion d'emprunts, augmentation de leur contribution à la rigueur (200 millions d'euros supplémentaires, budget 2012)...  A la clé, on le voit bien se pose la question du maintien d’un service public de proximité...

18/10/2011

Dexia : la descente aux enfers

Dexialogo.jpgOn savait les banques de plus en plus fragilisées mais la situation de Dexia ne peut manquer de nous interpeler.

Voilà en effet une banque qui comme beaucoup d’autres a reçu des aides publiques très importantes lors du déclenchement de la crise en 2008 et qui aujourd’hui se trouve quasiment en dépôt de bilan. On parle ces jours-ci de démembrement du groupe, voire de dépeçage et on va créer ce qu’on appelle «une structure de défaisance» pour gérer les actifs résiduels de cette société.

On peut simplement rapprocher deux chiffres : les 5,5 milliards résultant de la boulette du trader Kerviel et les 4,5 milliards que vaut aujourd’hui la situation nette de Dexia ! On s’aperçoit donc que le système bancaire est en train de perdre totalement sa valeur.

On ne peut que regretter le manque de réactions des autorités publiques face à cette dérive des banques au cours des années passées et j’ai pour ma part, gardé un souvenir très précis et à la fois très amer du refus de la droite d’engager une véritable régulation à chaque fois que le sujet a été évoqué au Sénat, notamment dès 2003 avec le projet de loi de sécurité financière, sans oublier le texte sur la nouvelle régulation économique et également le texte sur la transposition de la nouvelle directive sur les marchés financiers. Dans toutes ces situations pendant les dix dernières années, la droite française s’est montrée totalement sourde à nos préconisations d’une régulation accentuée. Les banques se sont dans ces conditions adonnées à des exercices spéculatifs invraisemblables et Dexia illustre aujourd’hui parfaitement le résultat auquel on est parvenu. Hélas !

14/10/2011

Nouvelle gouvernance du Sénat

senat.jpgCe mardi 11 octobre 2011, j’ai écouté avec la plus grande attention mon ami Jean Pierre BEL, nouveau Président du Sénat, évoquer dans son discours d’ouverture la nécessité de recourir à une gouvernance «modeste» et parcimonieuse de la maison «Sénat».

Depuis des mois sous le feu des critiques quant à son train de vie, le Sénat doit effectivement s’installer avec le changement de majorité, dans des pratiques de gestion renouvelée.

C’est dans cet esprit que j’ai pour ce qui me concerne, pris une première décision en refusant, en tant que Président de Commission, de me voir affecter de façon individualisée une voiture de fonction et un chauffeur. J’ai en effet la conviction que pour exercer la fonction de Président de la commission qui m’a été confiée, je suis en mesure de m’appuyer sur les moyens de transport habituels (pool de voiture, taxis) sans oublier les transports en commun particulièrement accessibles dans la capitale.

Pour autant, je conçois bien entendu que d’autres fonctions de responsabilité plus exigeantes en déplacements «aléatoires» puissent avoir besoin d’un tel service individualisé de voiture affectée !

12/10/2011

Quand le breton trouve droit de cité au sénat

France 3 blog.jpgLa vidéo de France 3 sur François MARC et les bretons à la Chambre Haute, diffusée lors du JT Local 12/13 - An Taol Lagad du vendredi 7 octobre 2011 à 12h00.

10/10/2011

Transparence, transparence, transparence

image note blog.pngOn attend davantage de transparence sur l’action du Parlement. A cet égard, je vous invite à consulter la page qui est dédiée à mon activité sénatoriale sur le site Internet "NosSenateurs.fr".

 

Pourquoi je vote HOLLANDE…

HOLLANDE 16 octobre.JPGLes primaires citoyennes ont mobilisé près de 2 millions de personnes ce 9 octobre 2011 : c’est là une grande avancée pour la démocratie participative dans notre pays.

Ce premier tour a permis à chacun d’exprimer ses idées et de choisir dans un panel large de candidatures.

Le choix à faire le 16 octobre a une portée solennelle : il s’agit en effet de désigner le candidat le mieux à même de « rassembler » et de porter les couleurs de la gauche face à Nicolas SARKOZY.

Pour ma part, j’ai fait le choix de François HOLLANDE pour trois principales raisons :

  1. En tant que breton attaché à la décentralisation, j’ai la conviction qu’il a un réel souci des territoires, de la vie spécifique des régions et du service public de proximité. HOLLANDE est un vrai décentralisateur !
  2. La situation catastrophique de l’Economie française et de nos finances publiques me conduit à privilégier le candidat qui me semble le mieux à même de redresser l’Economie, d’assainir nos finances et ainsi de combattre efficacement le chômage. François HOLLANDE a une réelle ambition pour la France !
  3. L’Europe devra demain être un puissant levier de redressement, de régulation et de protection des citoyens. Face à cette exigence, François HOLLANDE me parait le plus cohérent et le plus ambitieux. Il ne peut y avoir de double discours sur l’Europe…. Le volontarisme de HOLLANDE me parait bien correspondre à l’esprit pro-européen des bretons… 

Face à SARKOZY, François HOLLANDE est, me semble-t-il, le bon candidat du changement.

J’invite donc à voter François HOLLANDE le 16 octobre.

09/10/2011

Cumul des mandats

cumul mandat.jpgTrès régulièrement et encore ces jours-ci, le thème de cumul des mandats alimente le buzz des sphères politiques.

Ce n’est certes pas un sujet mineur…

J’ai pour ma part continuellement défendu la même position sur ce sujet depuis mon élection au Parlement en 1998 :

          • Autant que faire se peut, éviter de cumuler une fonction parlementaire avec une fonction exécutive locale. Je me suis appliqué ce principe à moi-même en démissionnant en 1999 de la Présidence de la Communauté de communes et en m’écartant de la fonction de Maire après 18 ans de mandat.

          • Pour autant, l’idée du mandat unique d’un sénateur me parait inappropriée. Le Sénat est en effet la «chambre des collectivités»…  Dès lors, ne pas avoir de mandat local (non exécutif) ne met pas en capacité d’optimiser son mandat national, ni de percevoir au mieux les enjeux du terrain.

Quant au cumul d’indemnités, rien n’oblige un élu à percevoir toutes les indemnités que la Loi conduit à lui attribuer. C’est en application de ce principe que, pour ce qui me concerne, j’ai renoncé à bénéficier de l’indemnité que le Conseil général verse aux élus du Département.

Il va de soi que ceci n’atténue en rien ma volonté de servir au mieux le canton de PLOUDIRY et les intérêts des finistériens !!

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